/53 1 Pédiatrie Preparation (Pr. Kim Ang) 1 / 53 1) La prévalence des épilepsies chez l’enfant est : a. 0,4 à 0,5 %; 60 % de bon pronostic b. 1 à 2 %; 60 % de bon pronostic c. 0,5 à 1 %; 40 % de bon pronostic d. 0,5 à 1 %; 60 % de bon pronostic e. 0,1 à 0,3 %; 60 % de bon pronostic 2 / 53 2) Indiquez la posologie correcte de phénobarbital (Gardénal) : a. 20 mg/kg/j en 2 à 3prises (taux thérapeutique = 5 à 10 mg/ml) b. 10 à 20 mg/kg/j en 2 prises (taux thérapeutique = 70 à 90 mg/ml) c. 10 à 15 mg/kg/j (taux thérapeutique: 15-30µg/ml) d. 20 à 40 mg/kg/j en 2 prises (taux thérapeutique = 70 à 90 mg/ml) e. 3 à 5 mg/kg/j (taux thérapeutique: 15-30µg/ml) 3 / 53 3) Quelle est la phrase juste concernant l’antibioprophylaxie en cas de méningite purulente causée par le méningocoque ? a. La chimioprophylaxie doit être réalisée dans 24 à 48h après le diagnostic. b. La chimioprophylaxie doit être réalisée dans 5 jours après le diagnostic c. Le traitement de portage est inutile pour des sujets contacts. d. Le traitement de portage est institué seulement chez l’enfant malade lui-même au terme du traitement curatif. e. La chimioprophylaxie n’a plus aucune utilité au-delà de 5j après le dernier contact. 4 / 53 4) Quelle est la phrase juste concernant la vaccination antiméningococique : a. L’immunité apparaît en moyenne 5j après la vaccination et dure environ 1 ans. b. L’immunité apparaît en moyenne 10j après la vaccination et dure à la vie. c. L’immunité apparaît en moyenne 5j après la vaccination et dure environ 2 ans. d. L’immunité apparaît en moyenne 5j après la vaccination et dure environ 3 à 4 ans. e. L’immunité apparaît en moyenne 10j après la vaccination et dure environ 3 à 4 ans. 5 / 53 5) En cas de germe identifié étant le pneumocoque chez l’enfant de moins de 5 ans, quel est l’antibiothérapie à démarrer ? a. Ceftriaxone 50mg/kg/j en 1 ou 2 injections IVL. b. Ceftriaxone 100mg/kg en 1 ou 2 injections IVL + vancomycine 30mg/kg/24h en 4 IVL de 1 heure. c. Ceftriaxone 100mg/kg en 1 ou 2 injections IVL + vancomycine 60mg/kg/24h en 4 IVL de 1 heure d. Céfotaxime 100mg/kg/24h en 4 perfusions + vancomycine 60mg/kg/24h en 4 IVL de 1 heure. e. Céfotaxime 200mg/kg/24h en 4 perfusions 6 / 53 6) Quels sont les apports hydriques en cas de syndrome d’hypersécrétion d’ADH confirmé : a. Apports hydriques de 100 à 150ml/kg/j. b. Apports hydriques à 40 à 50ml/kg/j c. Apports hydriques de 80 à 100ml/kg/j. d. Apports hydriques de 150 à 180ml/kg/j. e. Apports hydriques à 70 ml/kg/j 7 / 53 7) L’examen cyto-chimique de LCR chez un enfant présentant de syndrome méningé montre des nombres de cellules anormal avec une prédominance de PN altérés ( > 1000/ mm ), une protéinorachie anormale ( >1 g/l ) et un rapport du glucose dans LCR/sang < 0,40.Quelle méningite que vous devez évoquer en premier? a. Méningite ourlienne b. Méningite tuberculeuse c. Méningo-encéphalite herpétique d. Méningite virale e. Méningite bactérienne purulente 8 / 53 8) Une affection cérébraux chronique d’étiologies diverses, caractérisée par la répétition de crises résultant d’une décharge excessive des neurones, est une définition de : a. crise partielle b. crise généralisée c. crise tonico-clonique d. crise épileptique e. épilepsies 9 / 53 9) Indiquez la posologie correcte de valproate de sodium (Dépakine) : a. 3 à 5 mg/kg/j (taux thérapeutique: 15-30µg/ml) b. 10 à 20 mg/kg/j en 2 prises (taux thérapeutique = 70 à 90 mg/ml) c. 10 mg/kg/j en 2 à 3prises (taux thérapeutique = 5 à 10 mg/ml) d. 20 mg/kg/j en 2 à 3prises (taux thérapeutique = 5 à 10 mg/ml) e. 20 à 40 mg/kg/j en 2 prises (taux thérapeutique = 70 à 90 mg/ml) 10 / 53 10) Quelle est la phrase juste concernant le vaccin antiméningococique : a. Le vaccin de nature polysaccharidiques est pour les enfants de moins de 1 an. b. Le vaccin tétravalent (A/C/Y/W135) n’est pas disponible. c. Seulement un type de vaccin de nature polysaccharidiques est disponible en France: vaccin antiméningococcique (A,C) d. Le vaccin de nature polysaccharidiques est pour les enfants de moins de 2 ans. e. Deux types de vaccins de nature polysaccharidiques sont disponibles en France: vaccin antiméningococcique (A,C) 11 / 53 11) En cas de méningite purulente avec la culture de LCR confirmée à pneumocoque sensible au céfotaxime et le CMI est < 0,5mg/l, quel est l’attitude thérapeutique utlérieure pour l’antibiothérapie? a. Monothérapie par céfotaxime ( 200mg/kg/j ) ou par ceftriaxone ( 75-100mg/kg/j ). b. Maintenir céfotaxime + vancomycine. c. Arrêter tous les antibiotiques. d. Monothérapie par céfotaxime ( 100mg/kg/j ) ou par ceftriaxone ( 50mg/kg/j ). e. Continuer seulement la vancomycine ( 60 mg/kg/j ) 12 / 53 12) Chez les nourrissons ( < 12 mois ) , l’examen clinique pour le diagnostic de méningite est retrouvé: a. la raideur de la nuque d’opposition, signe de Koerniq et Brudzinski b. le plus souvent la raideur de la nuque d’opposition et la raideur anormale à la mobilisation du rachis avec rejet de la tête en arrière. c. la tension de la fontanelle, l’hypotonie de la nuque et parfois les signes neurologiques de localisation d. les deux maîtres signes de la contracture d’origine méningée. e. le plus souvent la raideur de la nuque, signe de Koerniq et Brudzinski 13 / 53 13) La tentative de flexion de la nuque entraînant la flexion des genoux et des hanches, est un signe positif de : a. syndrome méningé b. Babinski c. Koerniq d. Brudzinski e. raideur de la nuque 14 / 53 14) La méningite survient de façon concomitante aux autres manifestations des oreillons (parotidite, sous-maxillite) est : a. une méningite à Herpès Virus b. une méningite ourlienne c. une méningite à virus de rougeole d. une méningite virale à Entérovirus e. une méningite à Adenovirus 15 / 53 15) La flexion sur le tronc des membres inférieurs maintenus en extension, entraînant une flexion invincible des jambes sur les cuisses, est un signe positif de : a. Brudzinski b. syndrome méningé c. Koerniq d. raideur de la nuque e. Babinski 16 / 53 16) Une épilepsie symptomatique grave chez l’enfant caractérisée par des crises toniques, crises cloniques avec un aspect des pointes ondes lentes intercritiques, tracé de fond lent sur l’EEG et une atteinte intellectuelle, est : a. un syndrome de West b. un grand mal c. une épilepsie à paroxysmes occipitaux d. un syndrome de Lennox-Gastaud e. un petit mal absence 17 / 53 17) Quelle est la phrase juste pour l’indication de scanner ou IRM cérébrale à la recherche d’un abcès ou d’un empyème cérébral induisant à une modification antibiothérapique urgente : a. Vomissements répétés ou anomalie neurologique b. Fièvre durable et anomalie neurologique persistante c. Bombement de la fontanelle ou convulsions d. Collapsus ou état de choc e. Céphalée intense et anomalie neurologique 18 / 53 18) Choisir la réponse correcte concernant la durée de traitement antiépileptique chez l’enfant : a. L’arrêt de traitement: après 2 ans dans les épilepsies sévères b. L’arrêt de traitement: après 2 ans sans crise dans les épilepsies bénignes c. L’arrêt de traitement: après 1 ans dans les épilepsies sévères d. L’arrêt de traitement: après 1 ans sans crise dans les épilepsies bénignes e. L’arrêt de traitement: après 3 ans sans crise dans les épilepsies bénignes 19 / 53 19) Chez l’enfant, la classification en EPR: épilepsie à paroxysmes rolandiques, épilepsie à paroxysmes occipitaux et épilepsie bénigne à symptomatologie affective, est celui de : a. épilepsies idiopathiques b. épilepsies généralisées c. épilepsies partielles d. épilepsies cryptogéniques e. épilepsies symptomatiques 20 / 53 20) Choisir la réponse correcte de l’antiépilepique de choix pour le traitement de l’épilepsie partielle bénigne chez l’enfant : a. Phénytoïne (Di-Hydan) b. Clobazam (Urbanyl) c. Phénobarbital (Gardénal) d. Carbamazépine (Tégrétol) e. Vigabatrin (Sabril), 21 / 53 21) Une épilepsie grave du nourrisson caractérisée par des spasmes épileptiques causés par les malformations cérébrales ou les anomalies chromosomiques, s’appelle : a. le petit mal absence b. le syndrome de West c. le spasme du sanglot d. le syndrome de Lennox-Gastaud e. le grand mal 22 / 53 22) Un aspect de l’EEG montre des pointes ondes à début et fin brusques. Quel est le diagnostic de cette épilepsie ? a. Syndrome de West b. Grand mal c. Petit mal absence d. Syndrome de Lennox-Gastaud e. Epilepsie à paroxysmes occipitaux 23 / 53 23) Des crises épileptiques se classifiées en : a. crises tonico-cloniques généralisées et myoclonies massives b. crises motrices et crises partielles complexes c. crises sensorielles, visuelles et auditives d. crises généralisées et crises partielles e. crises généralisées et absences 24 / 53 24) Quelle est la phrase juste pour le contexte évocateur de méningite à pneumocoque ? a. OMA ou pneumopathie associée b. Conjonctivite c. Fièvre élevée d. Tubercule de Bouchut au fond d’oeil e. Céphalée intense avec photophobie 25 / 53 25) L’examen direct de LCR a retrouvé de Bacille acido-alcoolo-résistant. Quel est le germe le plus probablement en cause ? a. Escheria Coli b. Haemophilus influenzae de type b c. Méningoque d. Bacille d’Ebert e. Bacille de Koch 26 / 53 26) L’examen direct par coloration de Gram se présente de cocci Gram positif en chaînette. Quel est le germe le plus probablement en cause : a. Méningocoque b. Pneumocoque c. E coli d. Haemophilus influenzae b (Hib) e. Staphylocoque 27 / 53 27) Un aspect de l’EEG montre des pointes ondes généralisées symétriques et synchrones. Quel est le diagnostic de cette épilepsie ? a. Grand mal b. Syndrome de Lennox-Gastaud c. Epilepsie à paroxysmes occipitaux d. Epilepsie petit mal absence e. Syndrome de West 28 / 53 28) Une ponction lombaire de contrôle est utile et indispensable après 48 heures de traitement en cas de : a. méningite ourlienne b. méningite virale c. Méningite à méningoque d. méningite à pneumocoque e. méningite à Hib 29 / 53 29) Parmi les signes de gravité suivants, indiquez la phrase qui est en faveur d’une collection purulente cérébro-méningée : a. Purpura rapidement extensif ou nécrotique b. Extrémités froides, absence de diurèse c. Troubles de la conscience, coma ou convulsions d. Pression artérielle ↓ ou collapsus. e. ↑ fréquence cardiaque, ↑ temps de recoloration 30 / 53 30) Le diagnostic de convulsion du nourrisson se basé sur : a. l’interrogatoire, la description de crise et l’examen neurologique b. la description de crise et EEG c. la description de crise, l’examen neurologique et EEG d. l’interrogatoire et les explorations neuroradiologiques e. l’examen neurologique et les explorations neuroradiologiques 31 / 53 31) Indiquez la phrase juste pour l’antibioprophylaxie de l’entourage en cas de méningite purulente. a. Listeria monocytogen et E coli b. Haemophilus influenzae b ou méningoque c. Pneumocoque ou streptocoque d. Haemophilus influenzae b et pneumocoque e. Staphylocoque et Salmonelle 32 / 53 32) L’examen du LCR doit être urgent et les résultats du LCR étant en faveur d’une méningite bactérienne purulente sont : a. Nombres de cellules anormalement élevés avec prédominance de PN altérés b. Rapport du glucose dans LCR/ glucose dans le sang > 0,40 c. LCR hypertendu, LCR garde sa limpidité habituelle d. hyperleucocytose à prédominance lymphocytaire. e. Protéinorachie autour de 0,45g/l 33 / 53 33) En cas de méningite purulente, l’examen du LCR de contrôle se fait 48h après le début du traitement antibiotique si: a. la méningite confirmée à méningocoque b. la méningite confirmée à bacille Gram négatif polymorphe c. la méningite confirmée à Haemophilus influenzae b d. une persistance de signes infectieux ou neurologiques anormaux e. présence d’une nette régression ou disparition du syndrome inflammatoire. 34 / 53 34) Choisir la réponse correcte de l’antiépilepique de choix pour le traitement de l’absence-petit mal et des absences myocloniques chez l’enfant : a. Vigabatrin (Sabril), b. Valproate de sodium (Dépakine) c. Carbamazépine (Tégrétol) d. Phénobarbital (Gardénal) e. Phénytoïne (Di-Hydan) 35 / 53 35) La contracture d’origine méningée est confirmée par: a. Tension de la fontanelle b. Signes neurologiques de localisation c. Raideur de la nuque, signe Koerniq et Brudzinski d. Tension de la fontanelle et hypotonie de la nuque e. Hypotonie de la nuque 36 / 53 36) En cas de germe non identifié ou de méningite décapitée, quel est l’antibiothérapie à démarrer ? a. Ceftriaxone 100mg/kg/j en 1 ou 2 injections IVL. b. Céfotaxime 200 à 300mg /kg/24h + vancomycine 30mg/kg/24h. c. Céfotaxime 200 à 300mg /kg/24h + vancomycine 60mg/kg/24h. d. Céfotaxime 200mg/kg/24h en 4 perfusions e. Céfotaxime 100mg/kg/24h en 4 perfusions + vancomycine 30mg/kg/24h en 4 IVL de 1 heure. 37 / 53 37) Le trouble hémodynamique est un signe de gravité de méningite purulente chez l’enfant. Indiquez la phrase juste de trouble hémodynamique : a. Signes d’hypertension intracrânienne b. ↑ temps de recoloration de la peau, extrémités froides c. Purpura rapidement extensif ou nécrotique d. Diurèse environ 1 à 2 ml/heure. e. Troubles de la conscience, coma ou convulsions 38 / 53 38) Des convulsion survenues au cours d’une fièvre ,jamais précédées par des crises non fébriles, en dehors de toute affection cérébro-méningée, en dehors de tout désordre métabolique, en dehors de toute intoxication avec un développement psychomoteur et examen neurologique parfaits, sont les caractères de : a. convulsion occasionnelle b. épilepsies c. convulsion avec fièvre d. convulsion fébrile e. convulsion et hyperthermie 39 / 53 39) La méningite est une inflammation des méninges dont l’étiologie la plus fréquente est : a. tuberculeuse b. virale c. mycosique d. bactérienne e. parasitaire 40 / 53 40) Un ensemble des phénomènes résultant de décharges paroxystiques synchronisées d’une série de neurones, est une définition de : a. crise épileptique b. crise généralisée c. épilepsies d. crise partielle e. convulsion 41 / 53 41) Choisir la réponse correcte de l’antiépilepique de choix pour le traitement de l’épilepsie généralisée tonico-clonique (grand mal) chez l’enfant : a. Clobazam (Urbanyl) b. Carbamazépine (Tégrétol) c. Valproate de sodium (Dépakine) d. Ethoxuccimide (Zarontin) e. Benzodiazépines 42 / 53 42) En dehors de toute complication immédiate, quelle est la durée habituelle d’un traitement antibiotique et en fonction du germe ? a. Méningocoque: 3jours, Haemophilus: 7 jours, pneumocoque: 10j-15j b. Méningocoque: 7 jours, Haemophilus: 7 jours, pneumocoque: 14j c. Méningocoque: 7 jours, Haemophilus: 7jours, pneumocoque: 8j d. Méningocoque: 5 à 7 jours, Haemophilus: 4 jours, pneumocoque: 10j-15j e. Méningocoque: 5 à 7 jours, Haemophilus: 5-7 jours, pneumocoque: 9j 43 / 53 43) L’examen cyto-chimique de LCR chez un enfant présentant de syndrome méningé montre une réaction cellulaire faite de nombreux éléments à prédominance lymphocytaire ou de polynucléaires intacts (50-100/mm3), une albuminorachie modérément élevée(0,5 g/l) et une glycorachie et des chlorures normaux. Quelle méningite que vous devez évoquer en premier? a. Méningite bactérienne purulente b. Méningite aux germes opportunistes c. Méningite virale d. Méningite tuberculeuse e. Méningites aux Salmonelles 44 / 53 44) Le virus qui est en règle responsable d’une méningo-encéphalite avec signes neurologiques déficitaires dans un contexte fébrile est : a. Paramyxovirus: Oreillons, grippe b. Adenovirus c. Enterovirus d. Virus Echo e. Herpes virus 45 / 53 45) Quels sont les vaccins contre les bactéries de méningites purulentes déjà disponibles dans le programme de vaccination national du Cambodge en 2016 : a. Haemophilus influenzae b et méningoque b. E Coli et Listeria monocttogen c. Méningocoque et pneumocoque d. Pneumocoque ou streptocoque e. Haemophilus influenzae b et pneumocoque 46 / 53 46) Quels sont les pourcentages de séquelle dans la méningite purulente concernant le retard psychomoteur et la surdité ? a. Retard psychomoteur dans 15 à 20% des cas et surdité dans 15% des cas b. Retard psychomoteur dans 5 à 10% des cas et surdité dans 10% des cas c. Retard psychomoteur dans 15 à 20% des cas et surdité dans 20% des cas d. Retard psychomoteur dans 15 à 20% des cas et surdité dans 10% des cas e. Retard psychomoteur dans 5 à 10% des cas et surdité dans 15% des cas 47 / 53 47) L’examen cyto-chimique de LCR chez un enfant présentant de syndrome méningé montre une hyperalbuminorachie (>1 g/l) à prédominance lymphocytaire une hypercytose (>100/mm3) et un taux de sucre abaissé. Quel est le germe le plus probablement en cause ? a. Virus des oreillons b. Méningoque c. Bacille de Koch d. Haemophilus influenzae de type b e. Salmonella 48 / 53 48) Des crises paroxystiques d’origines cérébrales dont le mécanisme neurophysiologique est celui des crises épileptiques, et qui se traduisent par des contractions musculaires involontaires toniques ou cloniques. C’est la définition de : a. crise généralisée b. convulsion c. crise partielle d. crise épileptique e. épilepsies 49 / 53 49) Principaux germes des méningites purulentes de l’enfant avant l’introduction de vaccination universelle sont: a. Haemophilus influenzae b, pneumocoque et streptocoque b. Sreptocoque, E coli et listéria monocytogen c. Haemophilus influenzae b, méningocoque et pseudomonas d. Haemophilus influenzae b, méningocoque et pneumocoque e. Salmonelles, staphylocoque et pseudomonas 50 / 53 50) Quel est l’examen paraclinique à rechercher en cas de suspicion d’une sécrétion inappropriée d’ADH avec prise anormale de poids : a. Echographie transfontanellaire b. CMI (Concentration minimale inhibitrice) de bactérie identifiée c. Scanner ou IRM cérébrale d. Recherche des antigènes solubles (sang et urines) e. Ionogramme sanguin 51 / 53 51) Les germes se multiplient très rapidement dans le LCR car dans le LCR : a. il y a peu de glucose b. il y a trop de glucose c. la production de cytokines (TNFalpha, interleukine 1 et 6) est insuffisante d. il n’existe pas de monocyte e. il n’existe aucune bactéricide naturelle 52 / 53 52) La pénétration des germes de portages du rhinopharynx dans le LCR se fait par : a. thrombophlébite locale et voie respiratoire b. septicémie ou bactériémie et voie respiratoire c. voie hématogène ou par extension d’un foyer régional de voisinage d. voie hématogène et voie respiratoire e. contamination directe le plus souvent 53 / 53 53) Une réaction tuberculinique (IDR ou PPD test) est positif si: a. le diamètre de l’induration est ≥ 10 mm pour les enfants à haut risque (enfants à VIH positif ou malnutrition sévère). b. le diamètre de l’induration est ≥ 15 mm pour les autres enfants y compris ceux qui sont vaccinés par le BCG. c. le diamètre de l’induration est ≥ 20 mm pour les autres enfants y compris ceux qui sont vaccinés par le BCG. d. le diamètre de l’induration est ≥ 10 mm pour les autres enfants y compris ceux qui sont vaccinés par le BCG. e. le diamètre de l’induration est ≥ 15 mm pour les enfants à haut risque (enfants à VIH positif ou malnutrition sévère) Your score isThe average score is 42% Facebook 0% Restart quiz Any comments? 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