Radiologie Preparation (Pr. Hang Chanvoharak)

/50

1 / 50

1) Cause plus fréquence (90%) de l’occlusion colique:

a. Un bride adhérente

b. abcès

c. Tumeur du colon

d. injection entéro-colique

2 / 50

2) L’œdème de l’AVC ischémique est :

a. œdème cytotoxique

b. œdème vasogénique

c. apparition maximale dès l'accident

d. œdème interstitiel

3 / 50

3) Abdomen aiguë non traumatique:

a. toujours sans cause évidente décelable

b. Une douleur abdominale qui persiste supérieur à quelques heurs avec défense

c. Une douleur abdominale minime sans contracture musculaire

d. Une douleur abdominale dans quelques minutes

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4) une ischémie artérielle aiguë mésentérique:

a. cause par une occlusion de quelques minutes de perfusion

b. Dilatation du segment digestif ischémique

c. segment digestif ischémique non rehaussé en scanner avec injection

d. Diminution du calibre avec rehaussement normal du segment ischémique

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5) L’étiologie d’une sciatique commune plus fréquence :

a. un traumatisme du rachis lombaire

b. une tumeur intra canal lombaire

c. une hernie discale

d. une inflammatoire

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6) AVC ischémique constitué:

a. une attente chez le sujet jeune

b. une zone d'hyperdensité intra cérébrale

c. la cause est malformation vasculaire

d. une zone d'hypodensité cérébrale en Scanner avec déficit neurologique >24heurs

7 / 50

7) Une occlusion du grêle ou du colon :

a. scanner abdomino-pelvien avec injection n'étant pas nécessaire

b. calibre du grêle = 2.5cm et du colon = 6cm en scanner

c. calibre du grêle < 2.5cm et du colon < 6cm en scanner

d. calibre du grêle > 2.5cm et du colon > 6cm en scanner

8 / 50

8) Facteur de risque le plus fréquent de l’AVC ischémique:

a. insuffisance cardiaque

b. hypertension artérielle

c. sédentarité

d. malformation vasculaire

9 / 50

9) Une fracture du rachis:

a. une fracture instable, c'est fracture de l'arc antérieur et postérieur avec indication chirurgical

b. une fracture stable, c'est fracture de l'arc antérieur et postérieur

c. une fracture stable et instable sont toujours chirurgical

d. une fracture instable, c'est fracture de l'arc antérieur seul

10 / 50

10) Dégénérescence discale:

a. hypersignal T2 et T1

b. hypersignal T2

c. non vue en IRM

d. asignal en T1 et T2

11 / 50

11) Une bonne indication d’ASP debout:

a. dans le cas d'un bilan abdominal sans douleur

b. dans le cas d'une suspicion d'une perforation ou d'une occlusion

c. dans le cas d'une suspicion d'une ascite

d. dans le cas d'une suspicion d'une hémorragie digestive

12 / 50

12) L’embarrure se caractérise:

a. une hernie d'une partie encéphalique à l'extérieure

b. détachement d'un fragment osseux du crâne à l'intérieur

c. par toujours une indication chirurgicale

d. détachement osseux du crâne à l'extérieure

13 / 50

13) Moyenne d’exploration de référence en cas d’un traumatisme crânien:

a. IRM cérébrale

b. Fluoroscopie

c. Radiographie standard

d. Scanner cérébral sans ou avec injection

14 / 50

14) Une perforation grastique:

a. présence de croissant gazeux sur l'ASP debout

b. présence des niveau hydrique sur l'ASP

c. présence de stercolith en échographie

d. présence de pneumatose pariétale sur le scanner

15 / 50

15) Leuco-araïose:

a. hypodensité diffuse de substance blanche sans extension corticale

b. hypodensité des gyrus corticaux

c. hypodensité nette et systématisée

d. secondaire à une contraceptif

16 / 50

16) Une hernie discale postérieure paramédian gauche en L4/L5:

a. atteinte racine L5 gauche toujours

b. atteinte racines L5 gauche et S1 gauche si une grosse saillie discale

c. atteinte racines L4 et L5 gauche

d. atteinte racine L4 gauche

17 / 50

17) le zone de pénombre de l’AVC ischémique:

a. irréversible

b. une perte de fonction avec réversible

c. non vue en scanner ou IRM

d. absence de perte de fonction et réversible

18 / 50

18) la radiographie du rachis lombaire dans le contexte d’une sciatique:

a. recherche d'une tumeur intra canal lombaire

b. recherche d'une infection du rachis

c. recherche des signes ostéo-discarthrose

d. recherche d'une hernie discale

19 / 50

19) indication d’une myélographie:

a. dans contexte d'une discordance entre signes cliniques et IRM lombaire

b. dans contexte d'une sciatique paralysante

c. dans contexte d'une sciatique hyperalgique

d. dans contexte d'une sciatique rebelle au traitement

20 / 50

20) Disque normal:

a. hypersignal en T1

b. hypersignal en T2, hyposignal en T1

c. asignal en T1 et T2

d. hyposignal en T2

21 / 50

21) AVC ischémique précoce:

a. IRM plus mieux que scanner avec hyposignal en séquence Flair

b. Scanner plus performance que l'IRM

c. IRM plus mieux que scanner avec hypersignal en séquence Flair, diffusion etT2

d. IRM plus mieux que scanner

22 / 50

22) l’hématome est dans le stade aiguë:

a. isodense en scanner

b. toujours hyperdense de densité entre 60-80 UH en scanner

c. hypodesne en scanner

d. hétérogène en scanner

23 / 50

23) Une bonne indication d’ASP couché:

a. dans le cas d'une suspicion d'une lithiase rénale symptomatique ou d'un CE

b. dans le cas d'une suspicion d'une perforation ou d'une occlusion

c. dans le cas d'une suspicion d'une ascite

d. dans le cas d'une suspicion d'une hémorragie digestive

24 / 50

24) Hématome sous dural:

a. toujours s'accompagne d'un mydriase.

b. en croissant et dépasse la suture par rupture veine corticale ou sinus veineux

c. collection sanguine entre dure mère et table interne du crâne

d. Biconvexe et ne dépasse pas la suture par rupture de l'artère méningée moyenne

25 / 50

25) Signes indirect dans le pathologie discale dans radiographie standard:

a. un pincement discal, vide discal, ostéophytes et listel marginal éversé

b. vide discal

c. ostéophytes

d. Un pincement discal

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26) Signe de radiographie d’une entorse grave du rachis cervical:

a. lordose cervicale normale

b. un recouvrement articulaire < 50% avec écarte inter-épineux

c. anthélistésis moins de 3,5 mm

d. un recouvrement articulaire > 50%

27 / 50

27) AVC hémorragique:

a. hypersignal en T2*

b. hypodensité en scanner

c. la cause le plus fréquence est l'hypertension artérielle chronique et aiguë

d. toujours non gravité

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28) Méthode d’exploration simple et peut diagnostique d’étiologie de l’abdomen aiguë:

a. Scanner abdominal

b. Échographie abdomino-pelvienne

c. IRM abdominal

d. Artériographie

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29) AVC ischémique transitoire:

a. une zone d'hypodensité cérébrale en Scanner

b. une perte de circulation cérébrale typiquement supérieure à une heure

c. une régression clinique inférieure à 24 heurs sans séquelle

d. une persistance de signe neurologique supérieur à 24heurs

30 / 50

30) Spondylolisthésis :

a. toujours par rupture isthmique

b. glissement latéral du corps vertébral

c. écartement de l'apophyse épineux

d. glissement vers l'avant d'un corps vertébral par rapport du vertébral sous jacent

31 / 50

31) Œdème médullaire en IRM:

a. Absence de signal en T1 et T2

b. hypersignal en T1

c. hyposignal en T2

d. hypersignal en T2 et hyposignal en T1

32 / 50

32) Scanner abdomino-pelvien d’un abdomen aiguë non traumatique

a. toujours sans injection de produit de contraste

b. sans et/ou avec injection de produit de contraste

c. l'examen de fonction rénale (créatinine) n'est pas nécessaire

d. avec injection de produit de contraste

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33) Complication tardive d’un traumatisme du rachis:

a. une crise épileptique

b. Syringomyélie ou atrophie médullaire

c. tumeur osseuse du corps vertébral

d. atrophie musculaire

34 / 50

34) Indication en urgence en cas de traumatisme du rachis:

a. pour bilan neurologique

b. une suspicion d'une fracture osseuse

c. syndrome médullaire/ radiculaire

d. syndrome infectieux

35 / 50

35) L’hypodensité de l’AVC ischémique constitué:

a. en doigt de gant

b. nette et systématisée avec effacement corticaux

c. de la substance blanche sans extension corticale

d. non systématisée

36 / 50

36) Moyenne d’exploration en cas d’un traumatisme du rachis:

a. Scanner pour chercher une séquelle médullaire post traumatique

b. IRM plus performance que scanner pour chercher une lésion osseuse

c. Scanner plus performance que IRM pour chercher une lésion médullaire

d. IRM pour chercher une lésion médullaire et une séquelle médullaire

37 / 50

37) Traumatisme du rachis:

a. atteint la femme plus que l'homme

b. plus atteinte chez l'adulte jeune ( 15-40 ans)

c. Moins fréquente que la pathologie tumorale

d. plus atteint chez le sujet âgé

38 / 50

38) Traumatisme du rachis:

a. toujours présence d'une corrélation entre lésion osseuse et médullaire

b. un bon pronostic en cas de l'âge > 60 ans

c. pas toujours de corrélation entre lésion osseuse et médullaire

d. toujours donne une complication médullaire

39 / 50

39) Après un traumatisme du rachis cervical, présence d’une paralysie radiale:

a. une atteinte de la racine C6

b. une atteinte de la racine C7

c. une atteinte de la racine C3 à C5

d. une atteinte de la racine C8

40 / 50

40) l’hématome au stade séquelle:

a. hypersignal T2

b. hyposignal en T1 et T2

c. hypersignal T1

d. hyposignal T1 et hypersignal en T2

41 / 50

41) Engagement sous falcoriel:

a. Diminution de taille du ventricule

b. hypodensité du parenchyme cérébrale diffuse

c. Effacement des citernes de la base

d. Déviation des structures médianes avec dilatation ventriculaire contro-latérale

42 / 50

42) Après un traumatisme du rachis, présence d’une tétraplégie avec anesthésie complète:

a. une contusion de la moelle épinière

b. une sidération

c. un oedème de la moelle épinière

d. une section de la moelle épinière cervicale ou thoracique

43 / 50

43) la cause de l’AVC hémorragique chez le sujet jeune:

a. une maladie mitrale

b. une hypertension artérielle aiguë

c. une hypertension artérielle chronique

d. une malformation vasculaire

44 / 50

44) Le diagnostic positif d’une sciatique basé sur:

a. IRM du rachis

b. un examen para-clinique biologique

c. des signes cliniques

d. le scanner du rachis

45 / 50

45) Engagement amygdalien:

a. présence d'une mydriase

b. Effacement des citernes pré bulbaire et mieux visible sur le plan sagittale

c. Dilatation du 4ème ventricule

d. Diminution de taille du ventricule

46 / 50

46) Hématome extra dural:

a. toujours chirurgicale

b. Biconvexe et ne dépasse pas la suture par rupture de l'artère méningée moyenne

c. par une rupture de la veine cérébrale

d. en croissant et ne dépasse pas la structure

47 / 50

47) Appendicite aiguë:

a. appendice non hypertrophié et non rehaussement après injection

b. appendice hypertrophié > 6mm de diamètre

c. appendice hypertrophié, peu détectée par l'échographie et rehaussé après injection

d. appendice hypertrophié et non rehaussement après injection

48 / 50

48) Méthode d’exploration le plus performance d’une sciatique:

a. IRM du rachis

b. Myélographie

c. Scanner du rachis

d. Radiographie standard

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49) Hématome au stade chronique ( méthémoglobine libre):

a. hyposignal en T1 et T2

b. Hypersignal T1 et hyposignal T2

c. asignal en T1 et T2

d. hypersignal en T1 et T2

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50) Lésions axonales hémorragique post traumatique crânienne:

a. hyposignal en T2* en IRM cérébrale

b. Aspect cérébral normal en scanner et IRM

c. Non vue en IRM cérébrale

d. Mieux visible en scanner cérébral

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