Chimie Analytique Instrumentale Test 0% 0 votes, 0 avg 0 You will have 60 minutes to complete all the questions. After the timer reaches 60 minutes, the exam will end and be saved automatically. Good luck! *Fingers crossed* The timer has been reached. The exam has now been terminated and saved. Chimie Analytique Instrumentale Test 1 / 60 Quand la lumière arrive sur un échantillon, les phénomènes suivantes peuvent se produire 😕 a. adsorption, partage, formation de paires d’ions, réfraction, absorption. b. exclusion, adsorption, échange d’ions, réfraction, réflexion. c. réfraction, réflexion, diffusion, transmission, absorption. d. partage, adsorption, transmission, absorption, diffusion. 2 / 60 Dans la chromatographie ionique, le suppresseur ? a. est une colonne remplie d’une phase stationnaire constituée par des polysiloxanes. b. élimine les ions de l’éluant et permet d’augmenter la sensibilité du détecteur. c. est constitué par un tube métallique obturé à une extrémité par un septum. d. retient les impuretés et permet d’ augmenter la durée de vie de la colonne de séparation. 3 / 60 Le chromatographe de CPG comporte une enceinte thermostatée qui permet de chauffer la colonne ? a. jusqu’à plus de 400oC b. jusqu’à 100o C c. jusqu’à plus de 500oC d. jusqu’à 200oC 4 / 60 En CPG les colonnes remplies ? a. sont en acier inoxydable et en silice fondue. b. comportent un revêtement extérieur formé de polymère thermiquement stable. c. peuvent supporter un débit de gaz vecteur de 10 à 40 ml/min. d. peuvent être utilisées pour les analyses des traces. 5 / 60 Choisir une affirmation exacte ? a. Un mélange racémique est optiquement actif. b. L’identification d’une substance par la méthode spectrophotométrique est faite par détermination du maximum d’absorption. c. Pour le contrôle de pureté d’une substance par la méthode spectrophotométrique, si le composé est transparent et son impureté absorbe, l’absorbance croît avec la pureté. d. Le spectre électronique correspond au tracé des variations d’absorbance en fonction des longueurs d’ondes. 6 / 60 Choisir une affirmation non exacte concernant l’analyse des chlorures, des fluorures, des nitrates et des sulfates par chromatographie ionique ? a. la détection est faite avec un détecteur à conductivité ; b. la phase mobile est un mélange de solution de 3,2 mM Na2CO3 et 1,0 mM NaHCO3 ; c. la phase stationnaire comporte des groupements ammonium quaternaire ; d. le suppresseur est une colonne anionique. 7 / 60 En CPG, pour l’injection avec élimination de solvant avec l’injecteur à température programmable, le débit de fuite de solvant par la vanne de sortie peut atteindre:? a. 1000 mL/min b. 300 mL/min c. 100 mL/min d. 200 mL/min 8 / 60 Dans le spectrocolorimètre, le collimateur ? a. est constitué par un prisme. b. est constitué par un filtre coloré. c. est une petite ouverture réglable. d. est constitué par une lentille. 9 / 60 Dans la chromatographie sur couche mince, Rf ? a. doit avoir une valeur supérieure à 0 et inférieure à 1. b. est le rapport de la distance parcourue par la phase mobile sur la distance parcourue par la phase stationnaire. c. veut dire réactif. d. ne varie pas si on change la composition de la phase mobile. 10 / 60 Pour la mesure d’absorbance, dans quelle partie du spectre d’absorption utilise – t – on ? a. On doit prendre le point correspondant au minimum d’absorption du spectre électronique. b. C’est le point correspondant au maximum d’absorption du spectre électronique qu’il faut prendre. c. Pour la mesure d’absorbance, on peut utiliser un point quelconque du spectre d’absorption. d. On doit prendre un point du spectre d’absorption situé dans la zone ultraviolette. 11 / 60 Dans la détermination de pH par méthode colorimétrique, on utilise une gamme de solutions tampons étalons de valeurs de pH différentes entre elles de ? a. 3 unités de pH b. 0,5 unité de pH c. 1 unité de pH d. 0,2 unité de pH 12 / 60 Pour les analyses de routine dans la méthode spectrophotométrique, on recommande d’utiliser une cuve d’épaisseur de ? a. 4 cm b. 2 cm c. 0,5 cm d. 1 cm 13 / 60 a. D b. C c. A d. B 14 / 60 Le facteur de capacité ? a. permet de rendre compte de la faculté de la colonne à retenir chaque composé. b. est une constante pour une substance. c. doit avoir une valeur comprise entre 10 et 20. d. peut être appelé coefficient de distribution de Nernst qui quantifie le rapport de concentration de chaque composé entre les deux phases. 15 / 60 En CPG les colonnes capillaires ? a. présentent un diamètre interne de 100 μm à 530 μm. b. comportent un support poreux et inerte formé de grains sphériques d’environ 0,2 mm de diamètre. c. sont des colonnes en verre. d. présentent des longueurs de 5 m à 10 m. 16 / 60 ans la chromatographie liquide, la perte de charge de la colonne est définie par :/ ? a. la différence de masse de la phase stationnaire et celle de la phase mobile. b. la différence de masse totale de la colonne et celle de la phase stationnaire. c. la pression de refoulement de la pompe. d. la pression mesurée en sortie de colonne. 17 / 60 En CLHP, la précolonne ? a. est nécessaire pour diminuer la perte de charge et diminuer le temps de rétention. b. diminue le temps de rétention et prolonge la durée de vie de la colonne principale. c. a une longueur de l‘ordre de 5 – 10 cm et peut retenir certaines impuretés. d. retient certaines impuretés et prolonge la durée de vie de la colonne principale. 18 / 60 La détermination de pH par méthode colorimétrique est non applicable quand ? a. la solution analysée est colorée. b. la solution analysée présente un pH < 3. c. la solution analysée présente un pH > 12. d. la solution analysée est claire et limpide. 19 / 60 Le pouvoir rotatoire spécifique [ α ]20D d’une substance solide en solution est défini par l’angle de rotation α mesuré dans une solution de la substance à examiner utilisant la raie D de sodium de longueur d’onde égale à ? a. λ = 289,3 nm b. λ = 589,3 nm c. λ = 389,3 nm d. λ = 489,3 nm 20 / 60 Choisir une affirmation exacte ? a. Dans la CCM, la saturation de la cuve est faite avec du papier noir pour ne pas laisser la lumière entrer . b. Dans la CCM, la saturation de l’atmosphère de la cuve prévient l’évaporation de la phase mobile à la surface de la plaque. c. Dans la CCM, la phase stationnaire est remplie dans une colonne. d. Dans la CCM, le dépôt de l’échantillon est fait à l’aide d’une pipette. 21 / 60 Choisir une affirmation non exacte ? a. Les hydrocarbures saturés peuvent dévier le plan de polarisation de la lumière polarisée b. Le corps qui fait dévier le plan de polarisation de la lumière polarisée à gauche est dit corps lévogyre. c. La lumière polarisée contient des vibrations qui se font dans une direction unique du plan d. Le passage de la lumière naturelle à travers le prisme de Nicol transforme cette lumière en lumière polarisée 22 / 60 Choisir une affirmation exacte ? a. La polarité de gel de silice est modifiée par greffage avec des molécules organiques b. L’alumine est le matériau de base le plus utilisé dans la phase stationnaire de CLHP c. Le gel de silice se comporte comme une base d. Le gel de silice renferme des fonctions – NH2 ou -CN 23 / 60 Phénolphtaléine, indicateur coloré de pH, ? a. n’entre pas dans la composition de l’indicateur universel b. est utilisé dans le titrage de HCl par la soude c. change de coloration de rouge à jaune entre pH 1,2 – 2,8 d. donne une solution rose dans l’alcool 24 / 60 Les solutions tampons étalons de pH ? a. présentent une grande stabilité et un pouvoir tampon relativement faible. b. sont constituées par deux acides faibles. c. doivent posséder un pH égal ou supérieur à 7. d. présentent une variation de pH très faible avec la température. 25 / 60 La loi de Lambert Beer est non applicable quand ? a. la concentration de la solution est entre 0,50mg – 10mg pour 100ml. b. la solution est limpide. c. la solution est hétérogène. d. la lumière utilisée est monochromatique. 26 / 60 Dans la chromatographie de partage, ? a. la séparation est liée au coefficient d’adsorption du soluté avec la phase stationnaire. b. la phase stationnaire est un liquide non miscible à la phase mobile. c. les substances à chromatographier doivent être des substances ionisées. d. il y a formation des liaisons réversibles entre les composés en mouvement avec la phase stationnaire. 27 / 60 La loi de Lambert Beer est non applicable quand ? a. la concentration de la solution est entre 4g – 5g/ml b. la lumière utilisée est monochromatique c. la solution est homogène d. la solution est limpide 28 / 60 Choisir une affirmation non exacte ?Dans la mesure du pouvoir rotatoire, pour avoir de meilleure exactitude et précision, ? a. les éléments optiques de l’instrument doivent être d’une propreté rigoureuse et parfaitement alignés ; b. l’utilisation d’un tube polarimétrique de 1dm de longueur est indispensable. c. le remplissage du tube polarimétrique doit s’effectuer de manière à éviter la présence de bulles d’air ; d. le point correspondant à l’égalité d’éclairement des plages lumineux doit être proche du zéro normal ; 29 / 60 La mesure du pouvoir rotatoire est effectuée de préférence dans les ? a. 90 minutes suivant la dissolution de la substance. b. 30 minutes suivant la dissolution de la substance. c. 80 minutes suivant la dissolution de la substance. d. 60 minutes suivant la dissolution de la substance. 30 / 60 Parmi les affirmations suivantes laquelle est exacte ? a. La transition sigma → sigma* a besoin d’une quantité d’énergie plus faible que la transition pi → pi* b. L’hybridation sp2 de l’atome de C est trigonale avec les angles de valence égales à 120o c. La transition pi → pi* est très énergétique et elle nécessite une bande lumineuse à 130nm – 140nm. d. La zone ultra violette avec compris entre 150nm – 200nm est très utilisée en analyse courante.. 31 / 60 En CLHP, le détecteur spectrofluorométrique ? a. est considéré comme détecteur universel. b. est utilisé pour les composés naturellement fluorescents et pour ceux qui peuvent le devenir par traitement préalable à la détection. c. peut donner le spectre d’absorption UV de soluté en sortie de colonne. d. avec détection polychromatique, permet de mesurer la différence d’indice de réfraction entre la phase mobile et l’effluent de la colonne. 32 / 60 Pour doser le glucose dans le sérum glucosé isotonique 5% par méthode polarimétrique, il faut prendre une prise d’essai de 2,5 g de glucose correspondant au volume égal à ? a. 10 ml de sérum glucosé 5% b. 50 ml de sérum glucosé 5% c. 30 ml de sérum glucosé 5% d. 80 ml de sérum glucosé 5% 33 / 60 L’allure d’un pic dans le chromatogramme est traduit par ? a. le facteur de sélectivité α et le facteur de résolution R. b. le facteur d’asymétrie Fa et le facteur de traînée Ft mesurés à 10% de la hauteur. c. le rapport de la largeur de la courbe δ à 50% de la hauteur sur la largeur de la courbe ω à 13,5% de la hauteur. d. le rapport de la demi largeur de la courbe σ à 60,6% de la hauteur sur la largeur de la courbe δ à 50% de la hauteur. 34 / 60 Choisir une affirmation non exacte ? a. La pompe élimine les bulles d’air de la phase mobile. b. La pompe permet de maintenir la stabilité du débit de la phase mobile. c. La pompe peut générer la pression jusqu’à 6000 psi. d. La pompe doit être résistante à la corrosion des différents types de solvants. 35 / 60 Choisir une affirmation non exacte ? a. En CCM, la solution de l’échantillon est déposé en bas de la plaque. b. En CI, l’échantillon est introduit dans la colonne sous forme de solution. c. En CLHP, l’échantillon est introduit dans la colonne à l’état de vapeur et à l’état de solution. d. En CPG, l’échantillon non gazeux est transformé par chauffage en vapeur pour pouvoir être introduit dans la colonne. 36 / 60 En chromatographie, dans la situation où la phase stationnaire est saturée avec la montée du pic plus rapide que la descente, le facteur d’asymétrie Fa et le facteur de traînée Ft présentent des valeurs suivantes 😕 a. Fa ˂ 1 , Ft ˂ 1 b. Fa = 1, Ft = 1 c. Fa > 1, Ft > 1 d. Fa = 0 , Ft = 0 37 / 60 La source lumineuse du spectrocolorimètre est une lampe de ? a. hydrogène b. sodium c. deutérium d. tungstè 38 / 60 Pour la mesure du pouvoir rotatoire avec le polarimètre de type à mesures visuelles, il faut effectuer au moins ? a. une lecture de la déviation polarimétrique b. quatre lectures de la déviation polarimétrique c. trois lectures de la déviation polarimétrique d. six lectures de la déviation polarimétrique 39 / 60 En CLHP, le détecteur spectrophotométrique ? a. avec détection monochromatique, permet de mesurer la conductivité de la solution de substance à chromatographier en sortie de colonne. b. avec détection polychromatique, peut mesurer l’absorbance de soluté en sortie de colonne à plusieurs longueurs d’ondes quasi-simultanément. c. avec détection monochromatique, permet de mesurer la conductibilité de la solution de substance à chromatographier en sortie de colonne. d. avec détection monochromatique, permet de mesurer, à longueur d’onde fixe, l’absorbance en même temps que la fluorescence de soluté en sortie de colonne. 40 / 60 our faire la détermination quantitative d’une substance par méthode CLHP, ? a. on prend la valeur d’absorbance qui apparaît sur le tracé de chromatogramme b. on compare le temps de rétention de l’étalon avec celui de la substance à analyser c. on compare l’aire du pic de l’étalon avec l’aire du pic de l’échantillon d. on mesure la différence de potentiel entre l’électrode indicatrice et l’électrode de référence 41 / 60 Choisir une affirmation exacte ? a. Dans le tube polarimétrique, la présence des bulles d’air ne gêne pas le passage du rayon lumineux. b. Pour la mesure du pouvoir rotatoire avec un polarimètre à mesures visuelles, trois lectures de la déviation polarimétrique sont suffisantes. c. Le polarimètre photo-électrique permet une mesure à au moins 0,010 C près. d. Le polarimètre à mesures visuelles peut donner la même précision que le polarimètre photo-électrique. 42 / 60 En CLHP, la colonne a une longueur de ? a. 30 cm à 40 cm b. 10 cm à 30 cm c. 40 cm à 50 cm d. 5 cm à 10 cm 43 / 60 Le mélange racémique ? a. contient une partie d’isomère R et deux parties d’isomère S b. fait dévier le plan de polarisation de la lumière polarisée c. contient 30% d’isomère optiquement actif dextrogyre et 70% d’isomère optiquement actif lévogyre d. est optiquement inactif 44 / 60 Les solutions tampons étalons de pH ? a. présentent un coefficient de température pH relativement élevé b. sont stables c. changent de couleur quand on ajoute HCl 0,1N d. présentent une coloration bien nette 45 / 60 Dans la chromatographie d’adsorption, ? a. la phase stationnaire et la phase mobile sont des liquides non miscibles entre eux. b. la séparation est fondée sur la différence d’adsorption des molécules du mélange à la surface de la phase stationnaire. c. la phase mobile est constituée par un milieu aqueux et la phase stationnaire se comporte comme un échangeur d’ions. d. les molécules les plus grosses du mélange analysé sont les premières à être éluées. 46 / 60 Dans la formule de calcul de la teneur de glucose dans le sérum glucosé par méthode polarimétrique utilisant [ α ]D20 , la quantité de glucose trouvée est exprimée en ? a. g/100 ml b. mg /100 ml c. mg/ml d. g/ml 47 / 60 Le pouvoir rotatoire spécifique [ α ]20D d’une substance solide en solution est défini par l’angle de rotation α mesuré dans une solution de la substance à examiner rapporté à une épaisseur de ? a. 200 mm b. 100 mm c. 300 mm d. 10 mm 48 / 60 Dans le spectrocolorimètre, le sélecteur de longueur d’onde ? a. permet d’obtenir une lumière monochromatique. b. rend parallèle une partie du faisceau lumineux. c. est constitué par une lentille. d. rend le détecteur plus sensible. 49 / 60 En CPG, pour l’injection avec élimination de solvant avec l’injecteur à température programmable, le volume d’échantillon par injection peut aller jusqu’à 😕 a. 20 μL b. 50 μL c. 100 μL d. 10 μL 50 / 60 Type des procédures analytique qui doivent être validées : a. Test de pharmacologie b. Test de l’appareil c. Test de toxicité d. Test quantitatif 51 / 60 Les facteurs peuvent affecter les performances d’une méthode tels que : a. La compétence de l’utilisateur b. L’appareillage c. La méthode d. La fidélité 52 / 60 L’adéquation des analystes est vérifiée par : a. Procédure écrite d'analyse et de protocole approuvé avec les critères d'acceptation pré-établis. b. Statut de la formation et de qualifications c. Statut des normes de référence, réactifs, etc d. Statut de qualification et d'étalonnage 53 / 60 Le nombre recommandé des concentrations pour étudier l’exactitude est : a. 6 b. 9 c. 3 d. 12 54 / 60 L’adéquation de la documentation est vérifiée par : a. Statut de la formation et de qualifications b. Statut des normes de référence, réactifs, etc c. Procédure écrite d'analyse et de protocole approuvé avec les critères d'acceptation pré-établis. d. Statut de qualification et d'étalonnage 55 / 60 La linéarité est évaluée par : a. vérifier la limite de détection b. calcul statistiquement des erreurs relatives. c. examen visuel d'une droite d’étalonnage en fonction de la concentration de l'analyte ou son contenu d. vérifier la moyenne de chaque concentration testée avec la valeur vraie 56 / 60 Le moment fait la validation de la méthode : a. La préparation d’un analyte b. La qualification d’un appareil c. La mise en place des réactifs d. La mise en place d’un appareillage ou d’une méthode de travail 57 / 60 Le moment fait la validation de la méthode : a. Présentation d’un dossier d’accréditation b. La mise en place d’un appareillage c. La qualification d’une balance d. La qualification d’une méthode 58 / 60 La validation d’une méthode analytique est : a. le processus par lequel il est établi, par des études en laboratoire, que les réactifs utilisés sont conformes aux exigences pour les applications analytiques prévus. b. le processus par lequel il est établi, par des études en laboratoire, que les résultats de la méthode sont conformes aux exigences pour les applications analytiques prévus. c. le processus par lequel il est établi, par des études en laboratoire, que les documentations sont conformes aux exigences pour les applications analytiques prévues. d. le processus par lequel il est établi, par des études en laboratoire, que les caractéristiques de performance de la méthode sont conformes aux exigences pour les applications analytiques prévues. 59 / 60 Le nombre recommandé des étalons pour établir la droite de linéarité est : a. 4 b. 5 c. 6 d. 3 60 / 60 La précision est : a. la capacité d’évaluer sans équivoque l’analyte en présence de composants qui peuvent être susceptibles d’être présents b. la reproductibilité des valeurs obtenues en suivant le même mode opératoire. c. la capacité (dans une gamme de concentration déterminée) d’obtention les résultats qui sont directement proportionnelles à la concentration (quantité) de l’analyte dans l’échantillon d. l’approximité des résultats obtenus par cette méthode utilisée à la valeur vraie. 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