Pathologie-Méd Preparation (Dr. Om Serey Vichet)

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Path-Méd Preparation (Dr. Om Serey Vichet)

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Le risque relatif (RR)* de développer un accident coronarien en cas de SM :

a. est de 1,6 en Suède (66% de femmes)

b. est de 17 aux USA

c. est de 5,18 au Canada

d. est de 35 en Australie

e. est de 25 en Chine

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Diagnostic differential des hépatites auto immunes quíl ne faut pas faire :

a. Maladie Alzheimer

b. Hémochromatose

c. Hépatite .C

d. Maladie de Wilson

e. Hépatite .B

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En cas de SM, le risque relatif (RR) de développer un diabète de type 2 est de :

a. 7 en Inde (Prabakaran, 2007)

b. 34 chez femmes et 5,4 chez homme (Lorenzo, 2007)

c. 2,9 chez hommes et femmes en Chine (Li, 2007)

d. 69 aux USA (Wilson, Framingham USA, 2005)

e. 33 aux USA (Lorenzo, Diabetes Care 2003)

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Les Hépatites auto immunes HAI – Indications du Traitement , Survie à 10 ans

a. Sans traitement : 27% Sous traitement : ≥ 30%

b. Sans traitement : 5% Sous traitement : ≥ 90%

c. Sans traitement : 10% Sous traitement : ≥ 90%

d. Sans traitement : 27% Sous traitement : ≥ 50%

e. Sans traitement : 27% Sous traitement : ≥ 90%

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La prévention du Syndrome métabolique pourrait être avant tout :

a. affaire d ’hygiène de vie (activité physique et alimentation).

b. La prise des medicaments amaigrissant

c. Gymnastic

d. Surveillance de poids

e. Eviction des aliments grasses

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Hépatites auto-immunes , Critères diagnostiques: HAI Type 1 :

a. Auto-anticorps anti-LKM1 (ACAREL) anti – liver cytosol (LC1) Anti-LKM3

b. Manifestations : sévère

c. Auto-anticorps ,anti – nucléaires ,anti – muscle lisse ,anti – actine ,anti – soluble liver Ag

d. Anapath : Inflammation sévère et cirrhose fréquente

e. Echec du traitement : frequent

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Hépatites auto-immunes , Critères diagnostiques: HAI Type 2 :

a. Manifestations : variables

b. Auto-anticorps anti-LKM1 (ACAREL) anti – liver cytosol (LC1) Anti-LKM3

c. Auto-anticorps anti – nucléaires anti – muscle lisse anti – actine anti – soluble liver Ag

d. Anapath : Lésions légères à la cirrhose

e. Echec du traitement : rare

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L’insulino-résistance induit :

a. Une hypotrophie des muscles lisses artérielles

b. Une diminution des facteurs de croissance locaux

c. Une augmentation de certains facteurs de la coagulation entrainant hypercoagulabité sanguine

d. Une régénération de l’intima

e. Une diminution de certains facteurs de l’inflammationc

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Les Hépatites auto immunes :
Parmis les conclusions ci dessous il y en a une qui est fausse :

a. Traitement d'attaque : Antibiothérapie

b. Possibilité de régression totale de la fibrose

c. Intérêt de la PBH pour le diagnostic et le suivi

d. Diagnostic parfois difficile, sur un faisceau d'arguments

e. Espérance de vie normale des HAI en rémission

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Syndrome Métabolique : les risques se cumulent

a. Le risque est à terme une insuffisance rénale

b. Le risque est à terme neurologique

c. Le risque est à terme cardiovasculaire

d. Le risque est à terme diabétique

e. Le risque est à terme arthropathie chronique

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Dans l’hépatite auto immune HAI , la biopsie hépatique peut porter un diagnostic dans :

a. 2% des cas

b. 20% des cas

c. 5% des cas

d. 10% des cas

e. 30% des cas

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Association de 3 facteurs métaboliques « limites », le Syndrome Métabolique est :

a. Non Lié à l’insulinorésistance

b. Lié à l’élevation de l ’adiponectine

c. Rare dans la population

d. Non lié à l’âge

e. Lié aux facteurs de risque de MCV : coronariens et cérébraux

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Les Hépatites auto immunes : En rémission complète avec ou sans traitement :

a. Survie courte comparée à la population générale

b. Une cirrhose constituée

c. Une insuffisance rénale inévitable

d. Survie à 10 ans

e. Régression de la fibrose

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Les Hépatites auto immunes : En rémission complète avec ou sans traitement :

a. Une cirrhose constituée

b. Pas de Régression de la fibrose

c. Survie identique à la population générale

d. Survie courte comparée à la population générale

e. Une insuffisance rénale inévitable

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Parmis les 5 malades ci dessous lequel peut on considerer comme ayant un syndrome métabolique :

a. Malade PA : max 155 mm Hg ; min 85 mm Hg Obésité abdo : circ. taille 100 mm (Homme) Triclycéridémie 1,50 g/L Cholestérol-HDL 0,39 g/L (Homme) Glycémie à jeun 1,10 g/L

b. Malade PA : max 155 mm Hg ; min 85 mm Hg Obésité abdo : circ. taille 105 mm (Homme) Triclycéridémie 1,2 g/L Cholestérol-HDL 0,30 g/L (Homme) Glycémie à jeun 0,9 g/L

c. Malade PA : max 135 mm Hg ; min 85 mm Hg Obésité abdo : circ. taille 90 mm (Homme) Triclycéridémie 3,50 g/L Cholestérol-HDL 0,40 g/L (Homme) Glycémie à jeun 1,40 g/L

d. Malade PA : max 115 mm Hg ; min 75 mm Hg Obésité abdo : circ. taille 100 mm (Homme) Triclycéridémie 1,80 g/L Cholestérol-HDL 0,80 g/L (Homme) Glycémie à jeun 0,9 g/L

e. Malade PA : max 145 mm Hg ; min 90 mm Hg Obésité abdo : circ. taille 105 mm (Homme) Triclycéridémie 1,50 g/L Cholestérol-HDL 1 g/L (Homme) Glycémie à jeun 1,30 g/L

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Dans le syndrome métabolique le rôle de l ’obésité androïde est important :

a. Environ 1/3 des malades ayant un SM ont une obésité androïde

b. Environ 35-40 % des malades ayant un SM ont une obésité

c. Environ 50-60 % des malades ayant un SM ont une obésité

d. 1⁄4 des malades ayant une insulinorésistance ont une obésité androïde

e. Environ 15-20 % des malades ayant un SM ont une obésité

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