/53 1 Pédiatrie Preparation (Pr. Kim Ang) 1 / 53 1) Une affection cérébraux chronique d’étiologies diverses, caractérisée par la répétition de crises résultant d’une décharge excessive des neurones, est une définition de : a. crise généralisée b. épilepsies c. crise épileptique d. crise partielle e. crise tonico-clonique 2 / 53 2) La méningite est une inflammation des méninges dont l’étiologie la plus fréquente est : a. mycosique b. bactérienne c. virale d. tuberculeuse e. parasitaire 3 / 53 3) Choisir la réponse correcte de l’antiépilepique de choix pour le traitement de l’épilepsie généralisée tonico-clonique (grand mal) chez l’enfant : a. Carbamazépine (Tégrétol) b. Valproate de sodium (Dépakine) c. Benzodiazépines d. Clobazam (Urbanyl) e. Ethoxuccimide (Zarontin) 4 / 53 4) Des convulsion survenues au cours d’une fièvre ,jamais précédées par des crises non fébriles, en dehors de toute affection cérébro-méningée, en dehors de tout désordre métabolique, en dehors de toute intoxication avec un développement psychomoteur et examen neurologique parfaits, sont les caractères de : a. convulsion occasionnelle b. épilepsies c. convulsion avec fièvre d. convulsion et hyperthermie e. convulsion fébrile 5 / 53 5) Le diagnostic de convulsion du nourrisson se basé sur : a. l’examen neurologique et les explorations neuroradiologiques b. l’interrogatoire et les explorations neuroradiologiques c. la description de crise, l’examen neurologique et EEG d. l’interrogatoire, la description de crise et l’examen neurologique e. la description de crise et EEG 6 / 53 6) Quels sont les pourcentages de séquelle dans la méningite purulente concernant le retard psychomoteur et la surdité ? a. Retard psychomoteur dans 15 à 20% des cas et surdité dans 10% des cas b. Retard psychomoteur dans 15 à 20% des cas et surdité dans 20% des cas c. Retard psychomoteur dans 5 à 10% des cas et surdité dans 10% des cas d. Retard psychomoteur dans 15 à 20% des cas et surdité dans 15% des cas e. Retard psychomoteur dans 5 à 10% des cas et surdité dans 15% des cas 7 / 53 7) Un ensemble des phénomènes résultant de décharges paroxystiques synchronisées d’une série de neurones, est une définition de : a. épilepsies b. crise généralisée c. convulsion d. crise partielle e. crise épileptique 8 / 53 8) Une épilepsie symptomatique grave chez l’enfant caractérisée par des crises toniques, crises cloniques avec un aspect des pointes ondes lentes intercritiques, tracé de fond lent sur l’EEG et une atteinte intellectuelle, est : a. un syndrome de West b. un petit mal absence c. un syndrome de Lennox-Gastaud d. une épilepsie à paroxysmes occipitaux e. un grand mal 9 / 53 9) L’examen cyto-chimique de LCR chez un enfant présentant de syndrome méningé montre une réaction cellulaire faite de nombreux éléments à prédominance lymphocytaire ou de polynucléaires intacts (50-100/mm3), une albuminorachie modérément élevée(0,5 g/l) et une glycorachie et des chlorures normaux. Quelle méningite que vous devez évoquer en premier? a. Méningite tuberculeuse b. Méningite virale c. Méningite bactérienne purulente d. Méningite aux germes opportunistes e. Méningites aux Salmonelles 10 / 53 10) Un aspect de l’EEG montre des pointes ondes généralisées symétriques et synchrones. Quel est le diagnostic de cette épilepsie ? a. Syndrome de Lennox-Gastaud b. Epilepsie à paroxysmes occipitaux c. Epilepsie petit mal absence d. Grand mal e. Syndrome de West 11 / 53 11) Quelle est la phrase juste concernant la vaccination antiméningococique : a. L’immunité apparaît en moyenne 5j après la vaccination et dure environ 2 ans. b. L’immunité apparaît en moyenne 10j après la vaccination et dure environ 3 à 4 ans. c. L’immunité apparaît en moyenne 5j après la vaccination et dure environ 3 à 4 ans. d. L’immunité apparaît en moyenne 10j après la vaccination et dure à la vie. e. L’immunité apparaît en moyenne 5j après la vaccination et dure environ 1 ans. 12 / 53 12) La pénétration des germes de portages du rhinopharynx dans le LCR se fait par : a. thrombophlébite locale et voie respiratoire b. voie hématogène et voie respiratoire c. contamination directe le plus souvent d. septicémie ou bactériémie et voie respiratoire e. voie hématogène ou par extension d’un foyer régional de voisinage 13 / 53 13) Quels sont les vaccins contre les bactéries de méningites purulentes déjà disponibles dans le programme de vaccination national du Cambodge en 2016 : a. Pneumocoque ou streptocoque b. Méningocoque et pneumocoque c. Haemophilus influenzae b et méningoque d. Haemophilus influenzae b et pneumocoque e. E Coli et Listeria monocttogen 14 / 53 14) Indiquez la posologie correcte de phénobarbital (Gardénal) : a. 3 à 5 mg/kg/j (taux thérapeutique: 15-30µg/ml) b. 20 à 40 mg/kg/j en 2 prises (taux thérapeutique = 70 à 90 mg/ml) c. 20 mg/kg/j en 2 à 3prises (taux thérapeutique = 5 à 10 mg/ml) d. 10 à 20 mg/kg/j en 2 prises (taux thérapeutique = 70 à 90 mg/ml) e. 10 à 15 mg/kg/j (taux thérapeutique: 15-30µg/ml) 15 / 53 15) Quelle est la phrase juste concernant l’antibioprophylaxie en cas de méningite purulente causée par le méningocoque ? a. La chimioprophylaxie n’a plus aucune utilité au-delà de 5j après le dernier contact. b. La chimioprophylaxie doit être réalisée dans 24 à 48h après le diagnostic. c. Le traitement de portage est institué seulement chez l’enfant malade lui-même au terme du traitement curatif. d. Le traitement de portage est inutile pour des sujets contacts. e. La chimioprophylaxie doit être réalisée dans 5 jours après le diagnostic 16 / 53 16) Quel est l’examen paraclinique à rechercher en cas de suspicion d’une sécrétion inappropriée d’ADH avec prise anormale de poids : a. Recherche des antigènes solubles (sang et urines) b. Ionogramme sanguin c. Scanner ou IRM cérébrale d. Echographie transfontanellaire e. CMI (Concentration minimale inhibitrice) de bactérie identifiée 17 / 53 17) L’examen cyto-chimique de LCR chez un enfant présentant de syndrome méningé montre des nombres de cellules anormal avec une prédominance de PN altérés ( > 1000/ mm ), une protéinorachie anormale ( >1 g/l ) et un rapport du glucose dans LCR/sang < 0,40.Quelle méningite que vous devez évoquer en premier? a. Méningite tuberculeuse b. Méningite virale c. Méningite bactérienne purulente d. Méningite ourlienne e. Méningo-encéphalite herpétique 18 / 53 18) Choisir la réponse correcte de l’antiépilepique de choix pour le traitement de l’épilepsie partielle bénigne chez l’enfant : a. Carbamazépine (Tégrétol) b. Clobazam (Urbanyl) c. Phénobarbital (Gardénal) d. Phénytoïne (Di-Hydan) e. Vigabatrin (Sabril), 19 / 53 19) Quelle est la phrase juste pour le contexte évocateur de méningite à pneumocoque ? a. Fièvre élevée b. Céphalée intense avec photophobie c. OMA ou pneumopathie associée d. Tubercule de Bouchut au fond d’oeil e. Conjonctivite 20 / 53 20) En cas de germe non identifié ou de méningite décapitée, quel est l’antibiothérapie à démarrer ? a. Céfotaxime 200 à 300mg /kg/24h + vancomycine 60mg/kg/24h. b. Céfotaxime 200mg/kg/24h en 4 perfusions c. Céfotaxime 200 à 300mg /kg/24h + vancomycine 30mg/kg/24h. d. Céfotaxime 100mg/kg/24h en 4 perfusions + vancomycine 30mg/kg/24h en 4 IVL de 1 heure. e. Ceftriaxone 100mg/kg/j en 1 ou 2 injections IVL. 21 / 53 21) En dehors de toute complication immédiate, quelle est la durée habituelle d’un traitement antibiotique et en fonction du germe ? a. Méningocoque: 3jours, Haemophilus: 7 jours, pneumocoque: 10j-15j b. Méningocoque: 7 jours, Haemophilus: 7jours, pneumocoque: 8j c. Méningocoque: 5 à 7 jours, Haemophilus: 5-7 jours, pneumocoque: 9j d. Méningocoque: 5 à 7 jours, Haemophilus: 4 jours, pneumocoque: 10j-15j e. Méningocoque: 7 jours, Haemophilus: 7 jours, pneumocoque: 14j 22 / 53 22) Les germes se multiplient très rapidement dans le LCR car dans le LCR : a. il y a trop de glucose b. la production de cytokines (TNFalpha, interleukine 1 et 6) est insuffisante c. il n’existe pas de monocyte d. il y a peu de glucose e. il n’existe aucune bactéricide naturelle 23 / 53 23) L’examen direct par coloration de Gram se présente de cocci Gram positif en chaînette. Quel est le germe le plus probablement en cause : a. Staphylocoque b. Haemophilus influenzae b (Hib) c. E coli d. Méningocoque e. Pneumocoque 24 / 53 24) La méningite survient de façon concomitante aux autres manifestations des oreillons (parotidite, sous-maxillite) est : a. une méningite à Herpès Virus b. une méningite à Adenovirus c. une méningite virale à Entérovirus d. une méningite à virus de rougeole e. une méningite ourlienne 25 / 53 25) Quels sont les apports hydriques en cas de syndrome d’hypersécrétion d’ADH confirmé : a. Apports hydriques à 40 à 50ml/kg/j b. Apports hydriques à 70 ml/kg/j c. Apports hydriques de 100 à 150ml/kg/j. d. Apports hydriques de 150 à 180ml/kg/j. e. Apports hydriques de 80 à 100ml/kg/j. 26 / 53 26) Des crises paroxystiques d’origines cérébrales dont le mécanisme neurophysiologique est celui des crises épileptiques, et qui se traduisent par des contractions musculaires involontaires toniques ou cloniques. C’est la définition de : a. crise partielle b. convulsion c. crise généralisée d. épilepsies e. crise épileptique 27 / 53 27) Quelle est la phrase juste pour l’indication de scanner ou IRM cérébrale à la recherche d’un abcès ou d’un empyème cérébral induisant à une modification antibiothérapique urgente : a. Vomissements répétés ou anomalie neurologique b. Céphalée intense et anomalie neurologique c. Fièvre durable et anomalie neurologique persistante d. Bombement de la fontanelle ou convulsions e. Collapsus ou état de choc 28 / 53 28) Parmi les signes de gravité suivants, indiquez la phrase qui est en faveur d’une collection purulente cérébro-méningée : a. Pression artérielle ↓ ou collapsus. b. Extrémités froides, absence de diurèse c. ↑ fréquence cardiaque, ↑ temps de recoloration d. Purpura rapidement extensif ou nécrotique e. Troubles de la conscience, coma ou convulsions 29 / 53 29) Quelle est la phrase juste concernant le vaccin antiméningococique : a. Le vaccin tétravalent (A/C/Y/W135) n’est pas disponible. b. Seulement un type de vaccin de nature polysaccharidiques est disponible en France: vaccin antiméningococcique (A,C) c. Le vaccin de nature polysaccharidiques est pour les enfants de moins de 1 an. d. Le vaccin de nature polysaccharidiques est pour les enfants de moins de 2 ans. e. Deux types de vaccins de nature polysaccharidiques sont disponibles en France: vaccin antiméningococcique (A,C) 30 / 53 30) L’examen du LCR doit être urgent et les résultats du LCR étant en faveur d’une méningite bactérienne purulente sont : a. LCR hypertendu, LCR garde sa limpidité habituelle b. Protéinorachie autour de 0,45g/l c. Rapport du glucose dans LCR/ glucose dans le sang > 0,40 d. Nombres de cellules anormalement élevés avec prédominance de PN altérés e. hyperleucocytose à prédominance lymphocytaire. 31 / 53 31) La flexion sur le tronc des membres inférieurs maintenus en extension, entraînant une flexion invincible des jambes sur les cuisses, est un signe positif de : a. Koerniq b. Brudzinski c. Babinski d. syndrome méningé e. raideur de la nuque 32 / 53 32) Choisir la réponse correcte concernant la durée de traitement antiépileptique chez l’enfant : a. L’arrêt de traitement: après 2 ans sans crise dans les épilepsies bénignes b. L’arrêt de traitement: après 2 ans dans les épilepsies sévères c. L’arrêt de traitement: après 1 ans sans crise dans les épilepsies bénignes d. L’arrêt de traitement: après 1 ans dans les épilepsies sévères e. L’arrêt de traitement: après 3 ans sans crise dans les épilepsies bénignes 33 / 53 33) Principaux germes des méningites purulentes de l’enfant avant l’introduction de vaccination universelle sont: a. Haemophilus influenzae b, méningocoque et pseudomonas b. Haemophilus influenzae b, pneumocoque et streptocoque c. Haemophilus influenzae b, méningocoque et pneumocoque d. Sreptocoque, E coli et listéria monocytogen e. Salmonelles, staphylocoque et pseudomonas 34 / 53 34) La prévalence des épilepsies chez l’enfant est : a. 1 à 2 %; 60 % de bon pronostic b. 0,5 à 1 %; 40 % de bon pronostic c. 0,4 à 0,5 %; 60 % de bon pronostic d. 0,5 à 1 %; 60 % de bon pronostic e. 0,1 à 0,3 %; 60 % de bon pronostic 35 / 53 35) Une ponction lombaire de contrôle est utile et indispensable après 48 heures de traitement en cas de : a. méningite ourlienne b. méningite à Hib c. méningite à pneumocoque d. Méningite à méningoque e. méningite virale 36 / 53 36) En cas de germe identifié étant le pneumocoque chez l’enfant de moins de 5 ans, quel est l’antibiothérapie à démarrer ? a. Ceftriaxone 50mg/kg/j en 1 ou 2 injections IVL. b. Ceftriaxone 100mg/kg en 1 ou 2 injections IVL + vancomycine 60mg/kg/24h en 4 IVL de 1 heure c. Ceftriaxone 100mg/kg en 1 ou 2 injections IVL + vancomycine 30mg/kg/24h en 4 IVL de 1 heure. d. Céfotaxime 200mg/kg/24h en 4 perfusions e. Céfotaxime 100mg/kg/24h en 4 perfusions + vancomycine 60mg/kg/24h en 4 IVL de 1 heure. 37 / 53 37) Choisir la réponse correcte de l’antiépilepique de choix pour le traitement de l’absence-petit mal et des absences myocloniques chez l’enfant : a. Vigabatrin (Sabril), b. Carbamazépine (Tégrétol) c. Phénobarbital (Gardénal) d. Valproate de sodium (Dépakine) e. Phénytoïne (Di-Hydan) 38 / 53 38) Un aspect de l’EEG montre des pointes ondes à début et fin brusques. Quel est le diagnostic de cette épilepsie ? a. Epilepsie à paroxysmes occipitaux b. Petit mal absence c. Syndrome de West d. Grand mal e. Syndrome de Lennox-Gastaud 39 / 53 39) En cas de méningite purulente avec la culture de LCR confirmée à pneumocoque sensible au céfotaxime et le CMI est < 0,5mg/l, quel est l’attitude thérapeutique utlérieure pour l’antibiothérapie? a. Arrêter tous les antibiotiques. b. Monothérapie par céfotaxime ( 200mg/kg/j ) ou par ceftriaxone ( 75-100mg/kg/j ). c. Monothérapie par céfotaxime ( 100mg/kg/j ) ou par ceftriaxone ( 50mg/kg/j ). d. Maintenir céfotaxime + vancomycine. e. Continuer seulement la vancomycine ( 60 mg/kg/j ) 40 / 53 40) En cas de méningite purulente, l’examen du LCR de contrôle se fait 48h après le début du traitement antibiotique si: a. la méningite confirmée à méningocoque b. la méningite confirmée à Haemophilus influenzae b c. une persistance de signes infectieux ou neurologiques anormaux d. la méningite confirmée à bacille Gram négatif polymorphe e. présence d’une nette régression ou disparition du syndrome inflammatoire. 41 / 53 41) Une réaction tuberculinique (IDR ou PPD test) est positif si: a. le diamètre de l’induration est ≥ 20 mm pour les autres enfants y compris ceux qui sont vaccinés par le BCG. b. le diamètre de l’induration est ≥ 10 mm pour les enfants à haut risque (enfants à VIH positif ou malnutrition sévère). c. le diamètre de l’induration est ≥ 15 mm pour les enfants à haut risque (enfants à VIH positif ou malnutrition sévère) d. le diamètre de l’induration est ≥ 15 mm pour les autres enfants y compris ceux qui sont vaccinés par le BCG. e. le diamètre de l’induration est ≥ 10 mm pour les autres enfants y compris ceux qui sont vaccinés par le BCG. 42 / 53 42) Une épilepsie grave du nourrisson caractérisée par des spasmes épileptiques causés par les malformations cérébrales ou les anomalies chromosomiques, s’appelle : a. le petit mal absence b. le spasme du sanglot c. le syndrome de Lennox-Gastaud d. le grand mal e. le syndrome de West 43 / 53 43) L’examen direct de LCR a retrouvé de Bacille acido-alcoolo-résistant. Quel est le germe le plus probablement en cause ? a. Escheria Coli b. Méningoque c. Haemophilus influenzae de type b d. Bacille d’Ebert e. Bacille de Koch 44 / 53 44) L’examen cyto-chimique de LCR chez un enfant présentant de syndrome méningé montre une hyperalbuminorachie (>1 g/l) à prédominance lymphocytaire une hypercytose (>100/mm3) et un taux de sucre abaissé. Quel est le germe le plus probablement en cause ? a. Haemophilus influenzae de type b b. Méningoque c. Bacille de Koch d. Virus des oreillons e. Salmonella 45 / 53 45) Des crises épileptiques se classifiées en : a. crises généralisées et absences b. crises motrices et crises partielles complexes c. crises généralisées et crises partielles d. crises sensorielles, visuelles et auditives e. crises tonico-cloniques généralisées et myoclonies massives 46 / 53 46) Le trouble hémodynamique est un signe de gravité de méningite purulente chez l’enfant. Indiquez la phrase juste de trouble hémodynamique : a. ↑ temps de recoloration de la peau, extrémités froides b. Purpura rapidement extensif ou nécrotique c. Troubles de la conscience, coma ou convulsions d. Diurèse environ 1 à 2 ml/heure. e. Signes d’hypertension intracrânienne 47 / 53 47) Chez les nourrissons ( < 12 mois ) , l’examen clinique pour le diagnostic de méningite est retrouvé: a. le plus souvent la raideur de la nuque, signe de Koerniq et Brudzinski b. la raideur de la nuque d’opposition, signe de Koerniq et Brudzinski c. les deux maîtres signes de la contracture d’origine méningée. d. le plus souvent la raideur de la nuque d’opposition et la raideur anormale à la mobilisation du rachis avec rejet de la tête en arrière. e. la tension de la fontanelle, l’hypotonie de la nuque et parfois les signes neurologiques de localisation 48 / 53 48) Le virus qui est en règle responsable d’une méningo-encéphalite avec signes neurologiques déficitaires dans un contexte fébrile est : a. Virus Echo b. Paramyxovirus: Oreillons, grippe c. Herpes virus d. Enterovirus e. Adenovirus 49 / 53 49) La tentative de flexion de la nuque entraînant la flexion des genoux et des hanches, est un signe positif de : a. raideur de la nuque b. Brudzinski c. Koerniq d. Babinski e. syndrome méningé 50 / 53 50) Chez l’enfant, la classification en EPR: épilepsie à paroxysmes rolandiques, épilepsie à paroxysmes occipitaux et épilepsie bénigne à symptomatologie affective, est celui de : a. épilepsies symptomatiques b. épilepsies cryptogéniques c. épilepsies idiopathiques d. épilepsies généralisées e. épilepsies partielles 51 / 53 51) Indiquez la phrase juste pour l’antibioprophylaxie de l’entourage en cas de méningite purulente. a. Pneumocoque ou streptocoque b. Haemophilus influenzae b et pneumocoque c. Listeria monocytogen et E coli d. Staphylocoque et Salmonelle e. Haemophilus influenzae b ou méningoque 52 / 53 52) Indiquez la posologie correcte de valproate de sodium (Dépakine) : a. 3 à 5 mg/kg/j (taux thérapeutique: 15-30µg/ml) b. 20 mg/kg/j en 2 à 3prises (taux thérapeutique = 5 à 10 mg/ml) c. 20 à 40 mg/kg/j en 2 prises (taux thérapeutique = 70 à 90 mg/ml) d. 10 à 20 mg/kg/j en 2 prises (taux thérapeutique = 70 à 90 mg/ml) e. 10 mg/kg/j en 2 à 3prises (taux thérapeutique = 5 à 10 mg/ml) 53 / 53 53) La contracture d’origine méningée est confirmée par: a. Hypotonie de la nuque b. Tension de la fontanelle c. Signes neurologiques de localisation d. Raideur de la nuque, signe Koerniq et Brudzinski e. Tension de la fontanelle et hypotonie de la nuque Your score isThe average score is 42% Facebook 0% Restart quiz Any comments? Send feedback