/53 643 Pédiatrie Preparation (Pr. Kim Ang) 1 / 53 1) Quel est l’examen paraclinique à rechercher en cas de suspicion d’une sécrétion inappropriée d’ADH avec prise anormale de poids : a. CMI (Concentration minimale inhibitrice) de bactérie identifiée b. Recherche des antigènes solubles (sang et urines) c. Echographie transfontanellaire d. Scanner ou IRM cérébrale e. Ionogramme sanguin 2 / 53 2) Une épilepsie grave du nourrisson caractérisée par des spasmes épileptiques causés par les malformations cérébrales ou les anomalies chromosomiques, s’appelle : a. le petit mal absence b. le spasme du sanglot c. le grand mal d. le syndrome de West e. le syndrome de Lennox-Gastaud 3 / 53 3) Quelle est la phrase juste concernant le vaccin antiméningococique : a. Deux types de vaccins de nature polysaccharidiques sont disponibles en France: vaccin antiméningococcique (A,C) b. Le vaccin de nature polysaccharidiques est pour les enfants de moins de 2 ans. c. Le vaccin de nature polysaccharidiques est pour les enfants de moins de 1 an. d. Seulement un type de vaccin de nature polysaccharidiques est disponible en France: vaccin antiméningococcique (A,C) e. Le vaccin tétravalent (A/C/Y/W135) n’est pas disponible. 4 / 53 4) Parmi les signes de gravité suivants, indiquez la phrase qui est en faveur d’une collection purulente cérébro-méningée : a. Purpura rapidement extensif ou nécrotique b. Troubles de la conscience, coma ou convulsions c. Pression artérielle ↓ ou collapsus. d. Extrémités froides, absence de diurèse e. ↑ fréquence cardiaque, ↑ temps de recoloration 5 / 53 5) Quelle est la phrase juste concernant l’antibioprophylaxie en cas de méningite purulente causée par le méningocoque ? a. La chimioprophylaxie n’a plus aucune utilité au-delà de 5j après le dernier contact. b. Le traitement de portage est inutile pour des sujets contacts. c. La chimioprophylaxie doit être réalisée dans 5 jours après le diagnostic d. Le traitement de portage est institué seulement chez l’enfant malade lui-même au terme du traitement curatif. e. La chimioprophylaxie doit être réalisée dans 24 à 48h après le diagnostic. 6 / 53 6) Quels sont les apports hydriques en cas de syndrome d’hypersécrétion d’ADH confirmé : a. Apports hydriques de 100 à 150ml/kg/j. b. Apports hydriques de 150 à 180ml/kg/j. c. Apports hydriques à 40 à 50ml/kg/j d. Apports hydriques à 70 ml/kg/j e. Apports hydriques de 80 à 100ml/kg/j. 7 / 53 7) L’examen du LCR doit être urgent et les résultats du LCR étant en faveur d’une méningite bactérienne purulente sont : a. hyperleucocytose à prédominance lymphocytaire. b. Nombres de cellules anormalement élevés avec prédominance de PN altérés c. Protéinorachie autour de 0,45g/l d. Rapport du glucose dans LCR/ glucose dans le sang > 0,40 e. LCR hypertendu, LCR garde sa limpidité habituelle 8 / 53 8) L’examen direct de LCR a retrouvé de Bacille acido-alcoolo-résistant. Quel est le germe le plus probablement en cause ? a. Bacille de Koch b. Haemophilus influenzae de type b c. Escheria Coli d. Méningoque e. Bacille d’Ebert 9 / 53 9) La méningite est une inflammation des méninges dont l’étiologie la plus fréquente est : a. mycosique b. tuberculeuse c. bactérienne d. parasitaire e. virale 10 / 53 10) Des convulsion survenues au cours d’une fièvre ,jamais précédées par des crises non fébriles, en dehors de toute affection cérébro-méningée, en dehors de tout désordre métabolique, en dehors de toute intoxication avec un développement psychomoteur et examen neurologique parfaits, sont les caractères de : a. convulsion avec fièvre b. convulsion et hyperthermie c. convulsion occasionnelle d. épilepsies e. convulsion fébrile 11 / 53 11) Le virus qui est en règle responsable d’une méningo-encéphalite avec signes neurologiques déficitaires dans un contexte fébrile est : a. Herpes virus b. Enterovirus c. Adenovirus d. Virus Echo e. Paramyxovirus: Oreillons, grippe 12 / 53 12) La méningite survient de façon concomitante aux autres manifestations des oreillons (parotidite, sous-maxillite) est : a. une méningite à Adenovirus b. une méningite à virus de rougeole c. une méningite ourlienne d. une méningite virale à Entérovirus e. une méningite à Herpès Virus 13 / 53 13) Choisir la réponse correcte concernant la durée de traitement antiépileptique chez l’enfant : a. L’arrêt de traitement: après 2 ans dans les épilepsies sévères b. L’arrêt de traitement: après 1 ans dans les épilepsies sévères c. L’arrêt de traitement: après 3 ans sans crise dans les épilepsies bénignes d. L’arrêt de traitement: après 1 ans sans crise dans les épilepsies bénignes e. L’arrêt de traitement: après 2 ans sans crise dans les épilepsies bénignes 14 / 53 14) Une épilepsie symptomatique grave chez l’enfant caractérisée par des crises toniques, crises cloniques avec un aspect des pointes ondes lentes intercritiques, tracé de fond lent sur l’EEG et une atteinte intellectuelle, est : a. une épilepsie à paroxysmes occipitaux b. un petit mal absence c. un syndrome de Lennox-Gastaud d. un grand mal e. un syndrome de West 15 / 53 15) L’examen cyto-chimique de LCR chez un enfant présentant de syndrome méningé montre une hyperalbuminorachie (>1 g/l) à prédominance lymphocytaire une hypercytose (>100/mm3) et un taux de sucre abaissé. Quel est le germe le plus probablement en cause ? a. Salmonella b. Méningoque c. Haemophilus influenzae de type b d. Virus des oreillons e. Bacille de Koch 16 / 53 16) Un aspect de l’EEG montre des pointes ondes généralisées symétriques et synchrones. Quel est le diagnostic de cette épilepsie ? a. Grand mal b. Syndrome de West c. Syndrome de Lennox-Gastaud d. Epilepsie petit mal absence e. Epilepsie à paroxysmes occipitaux 17 / 53 17) Le diagnostic de convulsion du nourrisson se basé sur : a. l’interrogatoire et les explorations neuroradiologiques b. l’examen neurologique et les explorations neuroradiologiques c. la description de crise, l’examen neurologique et EEG d. la description de crise et EEG e. l’interrogatoire, la description de crise et l’examen neurologique 18 / 53 18) La contracture d’origine méningée est confirmée par: a. Tension de la fontanelle b. Hypotonie de la nuque c. Tension de la fontanelle et hypotonie de la nuque d. Signes neurologiques de localisation e. Raideur de la nuque, signe Koerniq et Brudzinski 19 / 53 19) L’examen direct par coloration de Gram se présente de cocci Gram positif en chaînette. Quel est le germe le plus probablement en cause : a. Méningocoque b. Staphylocoque c. Pneumocoque d. E coli e. Haemophilus influenzae b (Hib) 20 / 53 20) Un aspect de l’EEG montre des pointes ondes à début et fin brusques. Quel est le diagnostic de cette épilepsie ? a. Syndrome de Lennox-Gastaud b. Epilepsie à paroxysmes occipitaux c. Petit mal absence d. Syndrome de West e. Grand mal 21 / 53 21) Quelle est la phrase juste pour l’indication de scanner ou IRM cérébrale à la recherche d’un abcès ou d’un empyème cérébral induisant à une modification antibiothérapique urgente : a. Bombement de la fontanelle ou convulsions b. Céphalée intense et anomalie neurologique c. Vomissements répétés ou anomalie neurologique d. Collapsus ou état de choc e. Fièvre durable et anomalie neurologique persistante 22 / 53 22) En cas de germe non identifié ou de méningite décapitée, quel est l’antibiothérapie à démarrer ? a. Céfotaxime 200 à 300mg /kg/24h + vancomycine 30mg/kg/24h. b. Céfotaxime 200mg/kg/24h en 4 perfusions c. Céfotaxime 200 à 300mg /kg/24h + vancomycine 60mg/kg/24h. d. Céfotaxime 100mg/kg/24h en 4 perfusions + vancomycine 30mg/kg/24h en 4 IVL de 1 heure. e. Ceftriaxone 100mg/kg/j en 1 ou 2 injections IVL. 23 / 53 23) La flexion sur le tronc des membres inférieurs maintenus en extension, entraînant une flexion invincible des jambes sur les cuisses, est un signe positif de : a. raideur de la nuque b. Koerniq c. syndrome méningé d. Babinski e. Brudzinski 24 / 53 24) Des crises épileptiques se classifiées en : a. crises motrices et crises partielles complexes b. crises tonico-cloniques généralisées et myoclonies massives c. crises sensorielles, visuelles et auditives d. crises généralisées et absences e. crises généralisées et crises partielles 25 / 53 25) Une affection cérébraux chronique d’étiologies diverses, caractérisée par la répétition de crises résultant d’une décharge excessive des neurones, est une définition de : a. crise épileptique b. crise partielle c. épilepsies d. crise généralisée e. crise tonico-clonique 26 / 53 26) Une réaction tuberculinique (IDR ou PPD test) est positif si: a. le diamètre de l’induration est ≥ 15 mm pour les enfants à haut risque (enfants à VIH positif ou malnutrition sévère) b. le diamètre de l’induration est ≥ 15 mm pour les autres enfants y compris ceux qui sont vaccinés par le BCG. c. le diamètre de l’induration est ≥ 10 mm pour les autres enfants y compris ceux qui sont vaccinés par le BCG. d. le diamètre de l’induration est ≥ 10 mm pour les enfants à haut risque (enfants à VIH positif ou malnutrition sévère). e. le diamètre de l’induration est ≥ 20 mm pour les autres enfants y compris ceux qui sont vaccinés par le BCG. 27 / 53 27) En cas de germe identifié étant le pneumocoque chez l’enfant de moins de 5 ans, quel est l’antibiothérapie à démarrer ? a. Ceftriaxone 50mg/kg/j en 1 ou 2 injections IVL. b. Ceftriaxone 100mg/kg en 1 ou 2 injections IVL + vancomycine 60mg/kg/24h en 4 IVL de 1 heure c. Céfotaxime 100mg/kg/24h en 4 perfusions + vancomycine 60mg/kg/24h en 4 IVL de 1 heure. d. Céfotaxime 200mg/kg/24h en 4 perfusions e. Ceftriaxone 100mg/kg en 1 ou 2 injections IVL + vancomycine 30mg/kg/24h en 4 IVL de 1 heure. 28 / 53 28) Choisir la réponse correcte de l’antiépilepique de choix pour le traitement de l’épilepsie généralisée tonico-clonique (grand mal) chez l’enfant : a. Clobazam (Urbanyl) b. Valproate de sodium (Dépakine) c. Ethoxuccimide (Zarontin) d. Benzodiazépines e. Carbamazépine (Tégrétol) 29 / 53 29) Choisir la réponse correcte de l’antiépilepique de choix pour le traitement de l’absence-petit mal et des absences myocloniques chez l’enfant : a. Carbamazépine (Tégrétol) b. Phénytoïne (Di-Hydan) c. Vigabatrin (Sabril), d. Phénobarbital (Gardénal) e. Valproate de sodium (Dépakine) 30 / 53 30) La pénétration des germes de portages du rhinopharynx dans le LCR se fait par : a. voie hématogène ou par extension d’un foyer régional de voisinage b. contamination directe le plus souvent c. thrombophlébite locale et voie respiratoire d. septicémie ou bactériémie et voie respiratoire e. voie hématogène et voie respiratoire 31 / 53 31) Des crises paroxystiques d’origines cérébrales dont le mécanisme neurophysiologique est celui des crises épileptiques, et qui se traduisent par des contractions musculaires involontaires toniques ou cloniques. C’est la définition de : a. convulsion b. crise épileptique c. crise généralisée d. crise partielle e. épilepsies 32 / 53 32) Chez l’enfant, la classification en EPR: épilepsie à paroxysmes rolandiques, épilepsie à paroxysmes occipitaux et épilepsie bénigne à symptomatologie affective, est celui de : a. épilepsies idiopathiques b. épilepsies généralisées c. épilepsies cryptogéniques d. épilepsies partielles e. épilepsies symptomatiques 33 / 53 33) Quelle est la phrase juste concernant la vaccination antiméningococique : a. L’immunité apparaît en moyenne 10j après la vaccination et dure environ 3 à 4 ans. b. L’immunité apparaît en moyenne 10j après la vaccination et dure à la vie. c. L’immunité apparaît en moyenne 5j après la vaccination et dure environ 1 ans. d. L’immunité apparaît en moyenne 5j après la vaccination et dure environ 2 ans. e. L’immunité apparaît en moyenne 5j après la vaccination et dure environ 3 à 4 ans. 34 / 53 34) Quels sont les pourcentages de séquelle dans la méningite purulente concernant le retard psychomoteur et la surdité ? a. Retard psychomoteur dans 5 à 10% des cas et surdité dans 15% des cas b. Retard psychomoteur dans 15 à 20% des cas et surdité dans 20% des cas c. Retard psychomoteur dans 15 à 20% des cas et surdité dans 10% des cas d. Retard psychomoteur dans 15 à 20% des cas et surdité dans 15% des cas e. Retard psychomoteur dans 5 à 10% des cas et surdité dans 10% des cas 35 / 53 35) En cas de méningite purulente avec la culture de LCR confirmée à pneumocoque sensible au céfotaxime et le CMI est < 0,5mg/l, quel est l’attitude thérapeutique utlérieure pour l’antibiothérapie? a. Monothérapie par céfotaxime ( 100mg/kg/j ) ou par ceftriaxone ( 50mg/kg/j ). b. Maintenir céfotaxime + vancomycine. c. Monothérapie par céfotaxime ( 200mg/kg/j ) ou par ceftriaxone ( 75-100mg/kg/j ). d. Continuer seulement la vancomycine ( 60 mg/kg/j ) e. Arrêter tous les antibiotiques. 36 / 53 36) La prévalence des épilepsies chez l’enfant est : a. 1 à 2 %; 60 % de bon pronostic b. 0,5 à 1 %; 40 % de bon pronostic c. 0,5 à 1 %; 60 % de bon pronostic d. 0,4 à 0,5 %; 60 % de bon pronostic e. 0,1 à 0,3 %; 60 % de bon pronostic 37 / 53 37) Indiquez la posologie correcte de phénobarbital (Gardénal) : a. 10 à 15 mg/kg/j (taux thérapeutique: 15-30µg/ml) b. 20 mg/kg/j en 2 à 3prises (taux thérapeutique = 5 à 10 mg/ml) c. 3 à 5 mg/kg/j (taux thérapeutique: 15-30µg/ml) d. 20 à 40 mg/kg/j en 2 prises (taux thérapeutique = 70 à 90 mg/ml) e. 10 à 20 mg/kg/j en 2 prises (taux thérapeutique = 70 à 90 mg/ml) 38 / 53 38) La tentative de flexion de la nuque entraînant la flexion des genoux et des hanches, est un signe positif de : a. raideur de la nuque b. Babinski c. syndrome méningé d. Koerniq e. Brudzinski 39 / 53 39) Le trouble hémodynamique est un signe de gravité de méningite purulente chez l’enfant. Indiquez la phrase juste de trouble hémodynamique : a. Diurèse environ 1 à 2 ml/heure. b. Purpura rapidement extensif ou nécrotique c. Signes d’hypertension intracrânienne d. Troubles de la conscience, coma ou convulsions e. ↑ temps de recoloration de la peau, extrémités froides 40 / 53 40) Choisir la réponse correcte de l’antiépilepique de choix pour le traitement de l’épilepsie partielle bénigne chez l’enfant : a. Phénobarbital (Gardénal) b. Phénytoïne (Di-Hydan) c. Vigabatrin (Sabril), d. Carbamazépine (Tégrétol) e. Clobazam (Urbanyl) 41 / 53 41) Une ponction lombaire de contrôle est utile et indispensable après 48 heures de traitement en cas de : a. méningite ourlienne b. méningite à pneumocoque c. méningite virale d. Méningite à méningoque e. méningite à Hib 42 / 53 42) Principaux germes des méningites purulentes de l’enfant avant l’introduction de vaccination universelle sont: a. Salmonelles, staphylocoque et pseudomonas b. Haemophilus influenzae b, pneumocoque et streptocoque c. Haemophilus influenzae b, méningocoque et pneumocoque d. Haemophilus influenzae b, méningocoque et pseudomonas e. Sreptocoque, E coli et listéria monocytogen 43 / 53 43) Indiquez la phrase juste pour l’antibioprophylaxie de l’entourage en cas de méningite purulente. a. Pneumocoque ou streptocoque b. Haemophilus influenzae b ou méningoque c. Staphylocoque et Salmonelle d. Listeria monocytogen et E coli e. Haemophilus influenzae b et pneumocoque 44 / 53 44) Quels sont les vaccins contre les bactéries de méningites purulentes déjà disponibles dans le programme de vaccination national du Cambodge en 2016 : a. Haemophilus influenzae b et méningoque b. E Coli et Listeria monocttogen c. Pneumocoque ou streptocoque d. Méningocoque et pneumocoque e. Haemophilus influenzae b et pneumocoque 45 / 53 45) L’examen cyto-chimique de LCR chez un enfant présentant de syndrome méningé montre une réaction cellulaire faite de nombreux éléments à prédominance lymphocytaire ou de polynucléaires intacts (50-100/mm3), une albuminorachie modérément élevée(0,5 g/l) et une glycorachie et des chlorures normaux. Quelle méningite que vous devez évoquer en premier? a. Méningite bactérienne purulente b. Méningite aux germes opportunistes c. Méningites aux Salmonelles d. Méningite tuberculeuse e. Méningite virale 46 / 53 46) Chez les nourrissons ( < 12 mois ) , l’examen clinique pour le diagnostic de méningite est retrouvé: a. la raideur de la nuque d’opposition, signe de Koerniq et Brudzinski b. la tension de la fontanelle, l’hypotonie de la nuque et parfois les signes neurologiques de localisation c. les deux maîtres signes de la contracture d’origine méningée. d. le plus souvent la raideur de la nuque, signe de Koerniq et Brudzinski e. le plus souvent la raideur de la nuque d’opposition et la raideur anormale à la mobilisation du rachis avec rejet de la tête en arrière. 47 / 53 47) L’examen cyto-chimique de LCR chez un enfant présentant de syndrome méningé montre des nombres de cellules anormal avec une prédominance de PN altérés ( > 1000/ mm ), une protéinorachie anormale ( >1 g/l ) et un rapport du glucose dans LCR/sang < 0,40.Quelle méningite que vous devez évoquer en premier? a. Méningite bactérienne purulente b. Méningite virale c. Méningo-encéphalite herpétique d. Méningite tuberculeuse e. Méningite ourlienne 48 / 53 48) En cas de méningite purulente, l’examen du LCR de contrôle se fait 48h après le début du traitement antibiotique si: a. la méningite confirmée à Haemophilus influenzae b b. la méningite confirmée à méningocoque c. la méningite confirmée à bacille Gram négatif polymorphe d. une persistance de signes infectieux ou neurologiques anormaux e. présence d’une nette régression ou disparition du syndrome inflammatoire. 49 / 53 49) Un ensemble des phénomènes résultant de décharges paroxystiques synchronisées d’une série de neurones, est une définition de : a. crise généralisée b. crise partielle c. épilepsies d. convulsion e. crise épileptique 50 / 53 50) Quelle est la phrase juste pour le contexte évocateur de méningite à pneumocoque ? a. Fièvre élevée b. OMA ou pneumopathie associée c. Conjonctivite d. Tubercule de Bouchut au fond d’oeil e. Céphalée intense avec photophobie 51 / 53 51) Indiquez la posologie correcte de valproate de sodium (Dépakine) : a. 10 mg/kg/j en 2 à 3prises (taux thérapeutique = 5 à 10 mg/ml) b. 20 mg/kg/j en 2 à 3prises (taux thérapeutique = 5 à 10 mg/ml) c. 20 à 40 mg/kg/j en 2 prises (taux thérapeutique = 70 à 90 mg/ml) d. 10 à 20 mg/kg/j en 2 prises (taux thérapeutique = 70 à 90 mg/ml) e. 3 à 5 mg/kg/j (taux thérapeutique: 15-30µg/ml) 52 / 53 52) Les germes se multiplient très rapidement dans le LCR car dans le LCR : a. il y a peu de glucose b. il n’existe pas de monocyte c. il n’existe aucune bactéricide naturelle d. la production de cytokines (TNFalpha, interleukine 1 et 6) est insuffisante e. il y a trop de glucose 53 / 53 53) En dehors de toute complication immédiate, quelle est la durée habituelle d’un traitement antibiotique et en fonction du germe ? a. Méningocoque: 5 à 7 jours, Haemophilus: 4 jours, pneumocoque: 10j-15j b. Méningocoque: 7 jours, Haemophilus: 7 jours, pneumocoque: 14j c. Méningocoque: 7 jours, Haemophilus: 7jours, pneumocoque: 8j d. Méningocoque: 3jours, Haemophilus: 7 jours, pneumocoque: 10j-15j e. Méningocoque: 5 à 7 jours, Haemophilus: 5-7 jours, pneumocoque: 9j Your score isThe average score is 86% Facebook 0% Restart quiz Any comments? Send feedback