/53 643 Pédiatrie Preparation (Pr. Kim Ang) 1 / 53 1) Indiquez la posologie correcte de phénobarbital (Gardénal) : a. 20 mg/kg/j en 2 à 3prises (taux thérapeutique = 5 à 10 mg/ml) b. 10 à 20 mg/kg/j en 2 prises (taux thérapeutique = 70 à 90 mg/ml) c. 10 à 15 mg/kg/j (taux thérapeutique: 15-30µg/ml) d. 3 à 5 mg/kg/j (taux thérapeutique: 15-30µg/ml) e. 20 à 40 mg/kg/j en 2 prises (taux thérapeutique = 70 à 90 mg/ml) 2 / 53 2) Quels sont les apports hydriques en cas de syndrome d’hypersécrétion d’ADH confirmé : a. Apports hydriques de 80 à 100ml/kg/j. b. Apports hydriques à 40 à 50ml/kg/j c. Apports hydriques de 100 à 150ml/kg/j. d. Apports hydriques de 150 à 180ml/kg/j. e. Apports hydriques à 70 ml/kg/j 3 / 53 3) La méningite survient de façon concomitante aux autres manifestations des oreillons (parotidite, sous-maxillite) est : a. une méningite ourlienne b. une méningite à virus de rougeole c. une méningite à Adenovirus d. une méningite à Herpès Virus e. une méningite virale à Entérovirus 4 / 53 4) La tentative de flexion de la nuque entraînant la flexion des genoux et des hanches, est un signe positif de : a. Brudzinski b. Koerniq c. raideur de la nuque d. syndrome méningé e. Babinski 5 / 53 5) Indiquez la phrase juste pour l’antibioprophylaxie de l’entourage en cas de méningite purulente. a. Haemophilus influenzae b et pneumocoque b. Haemophilus influenzae b ou méningoque c. Staphylocoque et Salmonelle d. Listeria monocytogen et E coli e. Pneumocoque ou streptocoque 6 / 53 6) Parmi les signes de gravité suivants, indiquez la phrase qui est en faveur d’une collection purulente cérébro-méningée : a. Extrémités froides, absence de diurèse b. ↑ fréquence cardiaque, ↑ temps de recoloration c. Purpura rapidement extensif ou nécrotique d. Troubles de la conscience, coma ou convulsions e. Pression artérielle ↓ ou collapsus. 7 / 53 7) Quels sont les vaccins contre les bactéries de méningites purulentes déjà disponibles dans le programme de vaccination national du Cambodge en 2016 : a. E Coli et Listeria monocttogen b. Haemophilus influenzae b et pneumocoque c. Méningocoque et pneumocoque d. Haemophilus influenzae b et méningoque e. Pneumocoque ou streptocoque 8 / 53 8) L’examen cyto-chimique de LCR chez un enfant présentant de syndrome méningé montre une hyperalbuminorachie (>1 g/l) à prédominance lymphocytaire une hypercytose (>100/mm3) et un taux de sucre abaissé. Quel est le germe le plus probablement en cause ? a. Méningoque b. Virus des oreillons c. Bacille de Koch d. Haemophilus influenzae de type b e. Salmonella 9 / 53 9) Quelle est la phrase juste concernant la vaccination antiméningococique : a. L’immunité apparaît en moyenne 5j après la vaccination et dure environ 1 ans. b. L’immunité apparaît en moyenne 5j après la vaccination et dure environ 3 à 4 ans. c. L’immunité apparaît en moyenne 10j après la vaccination et dure environ 3 à 4 ans. d. L’immunité apparaît en moyenne 5j après la vaccination et dure environ 2 ans. e. L’immunité apparaît en moyenne 10j après la vaccination et dure à la vie. 10 / 53 10) Le diagnostic de convulsion du nourrisson se basé sur : a. la description de crise et EEG b. la description de crise, l’examen neurologique et EEG c. l’interrogatoire, la description de crise et l’examen neurologique d. l’interrogatoire et les explorations neuroradiologiques e. l’examen neurologique et les explorations neuroradiologiques 11 / 53 11) Quelle est la phrase juste concernant le vaccin antiméningococique : a. Deux types de vaccins de nature polysaccharidiques sont disponibles en France: vaccin antiméningococcique (A,C) b. Le vaccin de nature polysaccharidiques est pour les enfants de moins de 1 an. c. Seulement un type de vaccin de nature polysaccharidiques est disponible en France: vaccin antiméningococcique (A,C) d. Le vaccin de nature polysaccharidiques est pour les enfants de moins de 2 ans. e. Le vaccin tétravalent (A/C/Y/W135) n’est pas disponible. 12 / 53 12) Chez les nourrissons ( < 12 mois ) , l’examen clinique pour le diagnostic de méningite est retrouvé: a. le plus souvent la raideur de la nuque, signe de Koerniq et Brudzinski b. le plus souvent la raideur de la nuque d’opposition et la raideur anormale à la mobilisation du rachis avec rejet de la tête en arrière. c. les deux maîtres signes de la contracture d’origine méningée. d. la raideur de la nuque d’opposition, signe de Koerniq et Brudzinski e. la tension de la fontanelle, l’hypotonie de la nuque et parfois les signes neurologiques de localisation 13 / 53 13) En cas de germe identifié étant le pneumocoque chez l’enfant de moins de 5 ans, quel est l’antibiothérapie à démarrer ? a. Ceftriaxone 50mg/kg/j en 1 ou 2 injections IVL. b. Céfotaxime 200mg/kg/24h en 4 perfusions c. Ceftriaxone 100mg/kg en 1 ou 2 injections IVL + vancomycine 60mg/kg/24h en 4 IVL de 1 heure d. Ceftriaxone 100mg/kg en 1 ou 2 injections IVL + vancomycine 30mg/kg/24h en 4 IVL de 1 heure. e. Céfotaxime 100mg/kg/24h en 4 perfusions + vancomycine 60mg/kg/24h en 4 IVL de 1 heure. 14 / 53 14) Le trouble hémodynamique est un signe de gravité de méningite purulente chez l’enfant. Indiquez la phrase juste de trouble hémodynamique : a. ↑ temps de recoloration de la peau, extrémités froides b. Diurèse environ 1 à 2 ml/heure. c. Purpura rapidement extensif ou nécrotique d. Signes d’hypertension intracrânienne e. Troubles de la conscience, coma ou convulsions 15 / 53 15) Une épilepsie symptomatique grave chez l’enfant caractérisée par des crises toniques, crises cloniques avec un aspect des pointes ondes lentes intercritiques, tracé de fond lent sur l’EEG et une atteinte intellectuelle, est : a. un petit mal absence b. un syndrome de Lennox-Gastaud c. une épilepsie à paroxysmes occipitaux d. un grand mal e. un syndrome de West 16 / 53 16) Une affection cérébraux chronique d’étiologies diverses, caractérisée par la répétition de crises résultant d’une décharge excessive des neurones, est une définition de : a. crise partielle b. crise généralisée c. crise épileptique d. épilepsies e. crise tonico-clonique 17 / 53 17) L’examen cyto-chimique de LCR chez un enfant présentant de syndrome méningé montre des nombres de cellules anormal avec une prédominance de PN altérés ( > 1000/ mm ), une protéinorachie anormale ( >1 g/l ) et un rapport du glucose dans LCR/sang < 0,40.Quelle méningite que vous devez évoquer en premier? a. Méningite bactérienne purulente b. Méningite tuberculeuse c. Méningo-encéphalite herpétique d. Méningite ourlienne e. Méningite virale 18 / 53 18) En dehors de toute complication immédiate, quelle est la durée habituelle d’un traitement antibiotique et en fonction du germe ? a. Méningocoque: 7 jours, Haemophilus: 7 jours, pneumocoque: 14j b. Méningocoque: 7 jours, Haemophilus: 7jours, pneumocoque: 8j c. Méningocoque: 5 à 7 jours, Haemophilus: 5-7 jours, pneumocoque: 9j d. Méningocoque: 3jours, Haemophilus: 7 jours, pneumocoque: 10j-15j e. Méningocoque: 5 à 7 jours, Haemophilus: 4 jours, pneumocoque: 10j-15j 19 / 53 19) Une ponction lombaire de contrôle est utile et indispensable après 48 heures de traitement en cas de : a. méningite ourlienne b. méningite à Hib c. Méningite à méningoque d. méningite à pneumocoque e. méningite virale 20 / 53 20) La pénétration des germes de portages du rhinopharynx dans le LCR se fait par : a. septicémie ou bactériémie et voie respiratoire b. voie hématogène et voie respiratoire c. voie hématogène ou par extension d’un foyer régional de voisinage d. thrombophlébite locale et voie respiratoire e. contamination directe le plus souvent 21 / 53 21) Un aspect de l’EEG montre des pointes ondes généralisées symétriques et synchrones. Quel est le diagnostic de cette épilepsie ? a. Grand mal b. Epilepsie petit mal absence c. Syndrome de Lennox-Gastaud d. Syndrome de West e. Epilepsie à paroxysmes occipitaux 22 / 53 22) Un ensemble des phénomènes résultant de décharges paroxystiques synchronisées d’une série de neurones, est une définition de : a. crise partielle b. épilepsies c. crise généralisée d. convulsion e. crise épileptique 23 / 53 23) Quels sont les pourcentages de séquelle dans la méningite purulente concernant le retard psychomoteur et la surdité ? a. Retard psychomoteur dans 15 à 20% des cas et surdité dans 15% des cas b. Retard psychomoteur dans 15 à 20% des cas et surdité dans 20% des cas c. Retard psychomoteur dans 5 à 10% des cas et surdité dans 15% des cas d. Retard psychomoteur dans 15 à 20% des cas et surdité dans 10% des cas e. Retard psychomoteur dans 5 à 10% des cas et surdité dans 10% des cas 24 / 53 24) Quel est l’examen paraclinique à rechercher en cas de suspicion d’une sécrétion inappropriée d’ADH avec prise anormale de poids : a. Ionogramme sanguin b. Recherche des antigènes solubles (sang et urines) c. Scanner ou IRM cérébrale d. Echographie transfontanellaire e. CMI (Concentration minimale inhibitrice) de bactérie identifiée 25 / 53 25) L’examen direct de LCR a retrouvé de Bacille acido-alcoolo-résistant. Quel est le germe le plus probablement en cause ? a. Escheria Coli b. Méningoque c. Haemophilus influenzae de type b d. Bacille d’Ebert e. Bacille de Koch 26 / 53 26) Choisir la réponse correcte concernant la durée de traitement antiépileptique chez l’enfant : a. L’arrêt de traitement: après 2 ans dans les épilepsies sévères b. L’arrêt de traitement: après 1 ans sans crise dans les épilepsies bénignes c. L’arrêt de traitement: après 1 ans dans les épilepsies sévères d. L’arrêt de traitement: après 3 ans sans crise dans les épilepsies bénignes e. L’arrêt de traitement: après 2 ans sans crise dans les épilepsies bénignes 27 / 53 27) Principaux germes des méningites purulentes de l’enfant avant l’introduction de vaccination universelle sont: a. Haemophilus influenzae b, pneumocoque et streptocoque b. Sreptocoque, E coli et listéria monocytogen c. Haemophilus influenzae b, méningocoque et pneumocoque d. Haemophilus influenzae b, méningocoque et pseudomonas e. Salmonelles, staphylocoque et pseudomonas 28 / 53 28) Des crises épileptiques se classifiées en : a. crises généralisées et absences b. crises sensorielles, visuelles et auditives c. crises motrices et crises partielles complexes d. crises généralisées et crises partielles e. crises tonico-cloniques généralisées et myoclonies massives 29 / 53 29) Les germes se multiplient très rapidement dans le LCR car dans le LCR : a. il y a trop de glucose b. il n’existe aucune bactéricide naturelle c. il y a peu de glucose d. il n’existe pas de monocyte e. la production de cytokines (TNFalpha, interleukine 1 et 6) est insuffisante 30 / 53 30) Quelle est la phrase juste concernant l’antibioprophylaxie en cas de méningite purulente causée par le méningocoque ? a. La chimioprophylaxie n’a plus aucune utilité au-delà de 5j après le dernier contact. b. La chimioprophylaxie doit être réalisée dans 5 jours après le diagnostic c. Le traitement de portage est inutile pour des sujets contacts. d. Le traitement de portage est institué seulement chez l’enfant malade lui-même au terme du traitement curatif. e. La chimioprophylaxie doit être réalisée dans 24 à 48h après le diagnostic. 31 / 53 31) Quelle est la phrase juste pour le contexte évocateur de méningite à pneumocoque ? a. Conjonctivite b. Céphalée intense avec photophobie c. Fièvre élevée d. Tubercule de Bouchut au fond d’oeil e. OMA ou pneumopathie associée 32 / 53 32) L’examen direct par coloration de Gram se présente de cocci Gram positif en chaînette. Quel est le germe le plus probablement en cause : a. Haemophilus influenzae b (Hib) b. Pneumocoque c. Méningocoque d. E coli e. Staphylocoque 33 / 53 33) La méningite est une inflammation des méninges dont l’étiologie la plus fréquente est : a. mycosique b. virale c. tuberculeuse d. parasitaire e. bactérienne 34 / 53 34) En cas de germe non identifié ou de méningite décapitée, quel est l’antibiothérapie à démarrer ? a. Ceftriaxone 100mg/kg/j en 1 ou 2 injections IVL. b. Céfotaxime 200 à 300mg /kg/24h + vancomycine 60mg/kg/24h. c. Céfotaxime 200mg/kg/24h en 4 perfusions d. Céfotaxime 100mg/kg/24h en 4 perfusions + vancomycine 30mg/kg/24h en 4 IVL de 1 heure. e. Céfotaxime 200 à 300mg /kg/24h + vancomycine 30mg/kg/24h. 35 / 53 35) La prévalence des épilepsies chez l’enfant est : a. 0,5 à 1 %; 40 % de bon pronostic b. 0,1 à 0,3 %; 60 % de bon pronostic c. 1 à 2 %; 60 % de bon pronostic d. 0,4 à 0,5 %; 60 % de bon pronostic e. 0,5 à 1 %; 60 % de bon pronostic 36 / 53 36) Une réaction tuberculinique (IDR ou PPD test) est positif si: a. le diamètre de l’induration est ≥ 15 mm pour les autres enfants y compris ceux qui sont vaccinés par le BCG. b. le diamètre de l’induration est ≥ 20 mm pour les autres enfants y compris ceux qui sont vaccinés par le BCG. c. le diamètre de l’induration est ≥ 10 mm pour les enfants à haut risque (enfants à VIH positif ou malnutrition sévère). d. le diamètre de l’induration est ≥ 15 mm pour les enfants à haut risque (enfants à VIH positif ou malnutrition sévère) e. le diamètre de l’induration est ≥ 10 mm pour les autres enfants y compris ceux qui sont vaccinés par le BCG. 37 / 53 37) Choisir la réponse correcte de l’antiépilepique de choix pour le traitement de l’épilepsie partielle bénigne chez l’enfant : a. Vigabatrin (Sabril), b. Clobazam (Urbanyl) c. Phénobarbital (Gardénal) d. Carbamazépine (Tégrétol) e. Phénytoïne (Di-Hydan) 38 / 53 38) Quelle est la phrase juste pour l’indication de scanner ou IRM cérébrale à la recherche d’un abcès ou d’un empyème cérébral induisant à une modification antibiothérapique urgente : a. Bombement de la fontanelle ou convulsions b. Fièvre durable et anomalie neurologique persistante c. Vomissements répétés ou anomalie neurologique d. Céphalée intense et anomalie neurologique e. Collapsus ou état de choc 39 / 53 39) En cas de méningite purulente, l’examen du LCR de contrôle se fait 48h après le début du traitement antibiotique si: a. une persistance de signes infectieux ou neurologiques anormaux b. présence d’une nette régression ou disparition du syndrome inflammatoire. c. la méningite confirmée à bacille Gram négatif polymorphe d. la méningite confirmée à Haemophilus influenzae b e. la méningite confirmée à méningocoque 40 / 53 40) Des convulsion survenues au cours d’une fièvre ,jamais précédées par des crises non fébriles, en dehors de toute affection cérébro-méningée, en dehors de tout désordre métabolique, en dehors de toute intoxication avec un développement psychomoteur et examen neurologique parfaits, sont les caractères de : a. convulsion occasionnelle b. convulsion avec fièvre c. convulsion fébrile d. épilepsies e. convulsion et hyperthermie 41 / 53 41) Le virus qui est en règle responsable d’une méningo-encéphalite avec signes neurologiques déficitaires dans un contexte fébrile est : a. Virus Echo b. Herpes virus c. Adenovirus d. Enterovirus e. Paramyxovirus: Oreillons, grippe 42 / 53 42) Des crises paroxystiques d’origines cérébrales dont le mécanisme neurophysiologique est celui des crises épileptiques, et qui se traduisent par des contractions musculaires involontaires toniques ou cloniques. C’est la définition de : a. crise partielle b. convulsion c. crise épileptique d. crise généralisée e. épilepsies 43 / 53 43) Indiquez la posologie correcte de valproate de sodium (Dépakine) : a. 20 à 40 mg/kg/j en 2 prises (taux thérapeutique = 70 à 90 mg/ml) b. 10 mg/kg/j en 2 à 3prises (taux thérapeutique = 5 à 10 mg/ml) c. 20 mg/kg/j en 2 à 3prises (taux thérapeutique = 5 à 10 mg/ml) d. 10 à 20 mg/kg/j en 2 prises (taux thérapeutique = 70 à 90 mg/ml) e. 3 à 5 mg/kg/j (taux thérapeutique: 15-30µg/ml) 44 / 53 44) Choisir la réponse correcte de l’antiépilepique de choix pour le traitement de l’absence-petit mal et des absences myocloniques chez l’enfant : a. Vigabatrin (Sabril), b. Phénytoïne (Di-Hydan) c. Valproate de sodium (Dépakine) d. Carbamazépine (Tégrétol) e. Phénobarbital (Gardénal) 45 / 53 45) En cas de méningite purulente avec la culture de LCR confirmée à pneumocoque sensible au céfotaxime et le CMI est < 0,5mg/l, quel est l’attitude thérapeutique utlérieure pour l’antibiothérapie? a. Arrêter tous les antibiotiques. b. Monothérapie par céfotaxime ( 200mg/kg/j ) ou par ceftriaxone ( 75-100mg/kg/j ). c. Maintenir céfotaxime + vancomycine. d. Monothérapie par céfotaxime ( 100mg/kg/j ) ou par ceftriaxone ( 50mg/kg/j ). e. Continuer seulement la vancomycine ( 60 mg/kg/j ) 46 / 53 46) Choisir la réponse correcte de l’antiépilepique de choix pour le traitement de l’épilepsie généralisée tonico-clonique (grand mal) chez l’enfant : a. Ethoxuccimide (Zarontin) b. Benzodiazépines c. Carbamazépine (Tégrétol) d. Clobazam (Urbanyl) e. Valproate de sodium (Dépakine) 47 / 53 47) Une épilepsie grave du nourrisson caractérisée par des spasmes épileptiques causés par les malformations cérébrales ou les anomalies chromosomiques, s’appelle : a. le syndrome de Lennox-Gastaud b. le spasme du sanglot c. le petit mal absence d. le syndrome de West e. le grand mal 48 / 53 48) L’examen cyto-chimique de LCR chez un enfant présentant de syndrome méningé montre une réaction cellulaire faite de nombreux éléments à prédominance lymphocytaire ou de polynucléaires intacts (50-100/mm3), une albuminorachie modérément élevée(0,5 g/l) et une glycorachie et des chlorures normaux. Quelle méningite que vous devez évoquer en premier? a. Méningite aux germes opportunistes b. Méningite bactérienne purulente c. Méningite virale d. Méningites aux Salmonelles e. Méningite tuberculeuse 49 / 53 49) Un aspect de l’EEG montre des pointes ondes à début et fin brusques. Quel est le diagnostic de cette épilepsie ? a. Syndrome de Lennox-Gastaud b. Grand mal c. Syndrome de West d. Petit mal absence e. Epilepsie à paroxysmes occipitaux 50 / 53 50) La flexion sur le tronc des membres inférieurs maintenus en extension, entraînant une flexion invincible des jambes sur les cuisses, est un signe positif de : a. syndrome méningé b. Brudzinski c. Babinski d. raideur de la nuque e. Koerniq 51 / 53 51) L’examen du LCR doit être urgent et les résultats du LCR étant en faveur d’une méningite bactérienne purulente sont : a. LCR hypertendu, LCR garde sa limpidité habituelle b. Nombres de cellules anormalement élevés avec prédominance de PN altérés c. Rapport du glucose dans LCR/ glucose dans le sang > 0,40 d. hyperleucocytose à prédominance lymphocytaire. e. Protéinorachie autour de 0,45g/l 52 / 53 52) La contracture d’origine méningée est confirmée par: a. Signes neurologiques de localisation b. Tension de la fontanelle c. Tension de la fontanelle et hypotonie de la nuque d. Raideur de la nuque, signe Koerniq et Brudzinski e. Hypotonie de la nuque 53 / 53 53) Chez l’enfant, la classification en EPR: épilepsie à paroxysmes rolandiques, épilepsie à paroxysmes occipitaux et épilepsie bénigne à symptomatologie affective, est celui de : a. épilepsies généralisées b. épilepsies symptomatiques c. épilepsies partielles d. épilepsies idiopathiques e. épilepsies cryptogéniques Your score isThe average score is 86% Facebook 0% Restart quiz Any comments? Send feedback