/50 575 Sémiologie-Pathologie Preparation (Dr. Em Savoeun) 1 / 50 1) Le pyrosis : a. Peut se manifester par des douleurs abdominales b. Est une brûlure épigastrique, déclenchée par les changements de position c. Les changements de position n’est pas déclenché la douleur. d. Est une douleur qui irradie vers la région hypogastrique 2 / 50 2) La dysphagie de l’œsophagite : a. Constante b. Est intermittente c. Est progressive d. Ne s’associe pas à un pyrosis 3 / 50 3) Monsieur H. T., 60 ans, éthylique notoire et grand tabagique (50 paquets/année), consulte en raison d’un amaigrissement majeur (-12 kg en 3 mois) et d’une difficulté à avaler les aliments. Ce qui était une simple gêne au début, il y a 4 mois, s’est progressivement aggravé, actuellement seuls les aliments liquides passent. Le reste de l’examen clinique est normal.Quelle est votre principale hypothèse diagnostique ? a. L’œsophagite b. Tumeur du larynx c. Cancer de l'œsophage d. Sténose de l’oesophage 4 / 50 4) Chez l’adulte jeune la cause la plus fréquente de syndrome clinique de sténose du pylore est: a. L'hypertrophie du pylore b. L'ulcère gastrique c. L'ulcère duodénal d. Le cancer gastrique 5 / 50 5) Quelle est la proposition qui ne concerne pas l’obstruction des voies biliaires extra-hépatiques ? a. Se manifeste par un prurit b. Ne s’associe pas à un ictère c. S’associe parfois à une hépatomégalie importante d. Peut s’accompagner de fièvre 6 / 50 6) Quelle est la proposition ne concerne pas la douleur d’un syndrome ulcéreux: a. Aggravée par l'alimentation b. type de crampe c. Siège épigastrique d. Survient à distance des repas 7 / 50 7) Parmi les examens ci-dessous, lequel n’entre pas dans le bilan de retentissement d’une HTA ? a. ionogramme urinaire b. échographie cardiaque c. fond d'œil d. électrocardiogramme 8 / 50 8) Lors de l’occlusion de l’intestin grêle : a. Les douleurs abdominales sont rapidement progressives b. L’arrêt des matières et des gaz est toujours précoce c. Le ventre est distendu d. Le tympanisme est latéral 9 / 50 9) Mr R, 66 ans, est une patiente diabétique non insulino-dépendante et hypertendue. Dans ses antécédents, on retient une néphropathie diabétique et un infarctus du myocarde vu tardivement il y a 4 ans. Elle signale depuis quelques mois des douleurs thoraciques antérieures constrictives sur quelques minutes et irradiation au mâchoire et bras gauche.Quelle hypothèse diagnostique pouvez-vous formuler devant ce tableau clinique ? a. Douleurs d'origine digestive : spasme œsophagien reflux gastro-œsophagien b. Douleurs pariétales c. Douleurs d'origine cardiaque : Angor d. Douleur d’origine pulmonaire 10 / 50 10) Quelle est la complication possible de l’ulcère bulbaire? a. Hémorragie digestive haute b. Pancréatite c. Ictère obstructif d. Occlusion intestinale 11 / 50 11) Quelle est la proposition qui ne concerne pas l’hypertension portale ? a. Peut se manifester par une circulation veineuse collatérale abdominale b. Peut traitée par des médicaments anti-hypertenseurs c. Peut s’associer à une splénomégalie d. Peut s’accompagner de varices œsophagiennes 12 / 50 12) Madame C., 29 ans, sans antécédents connus, consulte à midi aux urgences en raison de douleurs épigastriques survenues depuis ce matin à six heures. Ces douleurs sont continuées, sans paroxysme, accompagnées de vomissements alimentaires peu abondants.Quelle est votre hypothèse diagnostique ? a. Infarctus mésentérique b. Cholécystite aiguë c. Ulcère gastro-duodénal d. Occlusion aiguë haute du grêle 13 / 50 13) L’une de ces complications ne fait pas partie du tableau de dissection aiguë de l’aorte. Laquelle ? a. insuffisance mitrale aiguë b. hémopéricarde c. hémothorax d. accident vasculaire cérébral 14 / 50 14) Quelle est la proposition qui ne concerne pas la douleur de colique hépatique ? a. Irradie en hémi-ceinture vers le flanc droit b. Est à type de décharge électrique c. Irradie vers l’épaule droit d. Siège dans l’hypochondre droit dans 1/3 des cas 15 / 50 15) L’hépatomégalie de l’insuffisance cardiaque : a. est dure avec une surface irrégulière b. est généralement associée à une vésicule palpable c. est totalement indolore à la palpation d. est lisse et douloureuse à la palpation 16 / 50 16) Le quadrant supérieur droit de l’abdomen est : a. L’hypogastre b. Flanc droit c. L’hypochondre droit d. La fosse iliaque droite 17 / 50 17) Concernant la douleur de péricardite aiguë, toutes les propositions suivantes sont justes, sauf une. Laquelle ? a. la douleur peut s'accompagner de troubles du rythme supra-ventriculaires b. l'ECG peut montrer des troubles diffus de la repolarisation c. la douleur peut s'accompagner d'un frottement péricardique disparaissant en apnée d. la douleur s'accentue volontiers lors des mouvements respiratoires 18 / 50 18) L’ictère à bilirubine conjuguée se caractérise par: a. S’associe à des urines foncées, des selles décolorées et peut-être lié à un obstacle hépatique b. S’associe à des urines claires et hémolyse c. S’associe à des urines claires, des selles très colorées d. S’associe à des selles décolorées et non prurit 19 / 50 19) Parmi les propositions suivantes relatives à une insuffisance mitrale importante, une seule est exacte, laquelle ? a. La pression artérielle diastolique est basse avec pression différentielle élargie b. Le souffle est à prédominance méso-systolique c. Le VG peut demeurer normal radiologiquement par hypertrophie concentrique d. Il existe un B3 de remplissage rapide 20 / 50 20) Monsieur X., 65 ans, consulte pour asthénie avec dyspnée d’effort. Antécédents: Soins dentaires il y a sept mois. Souffle holosystolique intense, apexoaxillaire 3/6°, en jet de vapeur, avec perception d’un B3 (protodiastolique) endapexien. La tension artérielle est à 110/80 mmHg. Le reste de l’examen est normal.Quel diagnostic clinique évoquez-vous de ce patient? a. Insuffisance aortique b. Insuffisance mitrale c. Rétrécissement aortique d. Rétrécissement mitrale 21 / 50 21) La diarrhée: a. Est aiguë si elle dure moins de trois jours b. Est définie par l’augmentation du poids des selles journalier c. La selle doit être liquide d. Est définie par l’augmentation du nombre de selles par jour 22 / 50 22) L’étiologie de vomissement chronique est : a. psychogène, sténose digestive non dérivée b. réflexes (occlusion, péritonite, pancréatite, …) c. insuffisance rénale aiguë d. reflux gastro-oesophagiene 23 / 50 23) Quelle est la proposition ne concerne pas le souffle d’insuffisance mitrale ? a. Peut irradier préférentiellement vers le bord gauche du sternum et vers le haut b. Siège à la pointe et irradie habituellement vers l’aisselle c. Débute habituellement dès le 1er bruit d. Est proportionnel à l’intensité de la régurgitation 24 / 50 24) Les caractères du frottement péricardique sont les suivants, sauf un. Lequel ? a. protosystolique et télédiastolique b. persiste en apnée c. doux froissement de la soie d. superficiel mésocardiaque 25 / 50 25) Un patient de 75 ans est admis aux urgences médicales pour une douleur thoracique brutale constrictive avec sensation de déchirure irradiant dans le dos survenue 3 heures auparavant. Ces antécédents sont marqués par : Un tabagisme chiffré à 24 paquets/année, Un diabète non insulino-dépendant traité par metformine. Une hypertension artérielle traitée par une quadrithérapie associant : diurétique de l’anse, anticalcique, inhibiteur de l’enzyme de conversion et bétabloquant, Une fracture du col fémoral ayant nécessité une ostéosynthèse “clou-plaque” en 1995. La taille est de 189 cm pour 95 kg. La tension artérielle est de 210 /125 mmHg et la fréquence cardiaque est chiffrée à 78/min. L’auscultation cardio-pulmonaire est normale. Les pouls périphériques sont absents en fémoral.Quel diagnostic clinique évoquez-vous ? a. Embolie pulmonaire b. Infarctus du myocarde (IDM) c. Péricardite d. Dissection aortique 26 / 50 26) Quelle est la complication évolutive la plus fréquente d’un anévrysme de l’aorte abdominale sous rénale ? a. Fistulisation dans la veine cave inférieure b. Compression urétérale c. Thrombose de l'aorte d. Rupture 27 / 50 27) Le facteur de risque cardio-vasculaire, accessibles à une prévention primaire, comporte: a. L'hypercholestérolémie b. Le sex et l’âge c. L'hérédité d. Le génétique 28 / 50 28) Quel est l’élément sémiologique qui permet d’affirmer l’origine cardiaque d’une hépatomégalie? a. Oedème des membres inférieurs b. Ascite c. Reflux hépatojugulaire d. Caractère douloureux 29 / 50 29) Parmi les éléments suivants de la sémiologie clinique du rétrécissement mitral, quel est celui qui disparait lorsqu’apparait une arythmie complète par fibrillation auriculaire ? a. Eclat du premier bruit b. Renforcement présystolique du roulement diastolique c. Roulement diastolique d. Claquement d'ouverture mitrale 30 / 50 30) Les bruits hydro-aériques : a. Sont peu nombreux en cas de diarrhée motrice b. Reflètent le péristaltisme abdominal c. Sont détectés par la percussion d. Peuvent être nombreux en cas d’ischémie mésentérique 31 / 50 31) Une femme de 42 ans est hospitalisée pour dyspnée d’effort et dyspnée paroxystique nocturne. Cette dyspnée s’est installée insidieusement sur deux ans, mais s’est rapidement aggravée la semaine passée, avec épisodes d’orthopnée nocturne. Cette femme n’a pas d’antécédents pathologiques. Auscultation : souffle diastolique en écharpe 4/6°, souffle systolique endapexien éjectionnel 2/6°, troisième bruit à l’endapex. Hyperpulsatilité artérielle périphérique, tension artérielle = 130/60 mmHg, pouls = 88/mn, apyrexie.Quel diagnostic clinique évoquez-vous ? a. Rétrécissement aortique b. Rétrécissement mitrale c. Insuffisance mitrale d. Insuffisance aortique 32 / 50 32) Parmi les propositions concernant l’infarctus du myocarde chez la personne âgée, laquelle est fausse ? a. la douleur thoracique est la manifestation la plus fréquente b. des nausées et vomissements peuvent être l'expression d'un infarctus du myocarde c. une syncope peut révéler un infarctus du myocarde d. la défaillance cardiaque est une complication fréquente 33 / 50 33) Parmi les propositions suivantes, citer celle qui évoque la douleur d’un ulcère duodénal: a. Post-prandiale précoce b. Epigastrique, à type de crampe, calmée par l'alimentation c. Déclenchée par l'alimentation d. Epigastrique, à type de brûlure 34 / 50 34) Au cours de l’insuffisance ventriculaire gauche (quelques soit la cause), l’auscultation cardiaque permet de retrouvée : a. Un souffle diastolique de pointe b. Une tachycardie avec souffle systolique de pointe c. Un bruit intense diastolique d. Un souffle diastolique d’insuffisance aortique fonctionnelle 35 / 50 35) Devant la découverte d’une masse abdominale sus-ombilicale, l’existence d’un anévrisme de l’aorte sera suspectée devant: a. la perception d'un "thrill" b. le caractère palpable et impossible de compression c. le caractère battant et/ou expansif de cette masse d. le caractère douloureux de cette masse 36 / 50 36) Mme G est âgé de 56 ans. Elle pèse 85 kg pour 165 et observe des œdèmes des membres inférieurs de plus en plus importants en fin de journée alors que selon elle ses jambes dégonflent franchement le matin. On lui connaît un artériopathie des membres inférieurs non évolutive actuellement avec un périmètre de marche à 150 mètres. L’examen neurologique des membres inférieurs objective une aréflexie aux membres inférieurs, des troubles de la sensibilité et sans atteinte motrice nette. Brutalement elle se plaint d’une douleur aiguë du pied gauche. Celui-ci apparaît blanc et froid. La patiente est non fébrile.Quel est votre diagnostic ? a. Thrombophlébite b. sténose athéromateuse non complète c. Ischémie aigue de jambe d. sténose athéromateuse complétée 37 / 50 37) La douleur pancréatique : a. Peut irradier vers l’épaule droite b. Est localisée dans la région hypogastrique c. Est initialement épigastrique, transfixiante et projette dans le dos d. Est épigastrique projette dans l’organe génital externe 38 / 50 38) Quelles sont les affirmations exactes concernant la douleur colique ? a. Elle peut être soulagée par le repas b. Elle est soulagée par l’émission de selles et/ou de gaz c. Elle est de siège ombilical d. Elle est déclenchée par l’émission de gaz 39 / 50 39) Parmi les propositions suivantes, laquelle ne s’applique pas au syndrome dysentérique ? a. douleurs: intense b. selles: glaires, sang, pus c. mécanisme: invasif d. incubation: quelques heures 40 / 50 40) Monsieur X, 70 ans, consulte pour gêne douloureuse à la marche. Depuis 3 mois, il s’arrête au bout de 300 m à cause de sa jambe droite, il se repose quelques minutes et repart sans problème. Dans ses antécédents, on note tabagisme à 50 paquets-années, hypercholestérolémie non traitée, hypertension artérielle traitée. Cliniquement : poids: 90 kilos pour 1 m71, tension artérielle = 140/80 mmHg, pouls = 87/minute. Souffle systolique fémoral droit, abolition des pouls pédieux droit, tibiaux postérieurs. Le reste de l’examen, en particulier neurologique et abdominal est normal.Quel est le diagnostic clinique de ce patient? a. Claudications vasculaires b. Sciatique de jambe droite c. Claudications médullaires d. Arthrite de la jambe droite 41 / 50 41) La dysphagie du cancer de l’œsophage : a. Est progressive et concerne d’abord les aliments solides puis les liquides b. Est douloureuse et concerne les aliments liquides chauds c. Est brutale et concerne d’abord les aliments solides puis les liquides d. Est douloureuse et concerne les aliments solides 42 / 50 42) La douleur gastrique ou duodénale : a. Siège dans l’hypocondre gauche b. Siège épigastrique transfixiante et projette dans le dos c. Est habituellement sans irradiation et calmée par le bol alimentaire d. Est soulagée par l’antéflexion du buste 43 / 50 43) Quel est le signe clinique qui n’existe pas dans le syndrome de reflux gastro-œsophagien? a. Signe du lacet (postural) b. Défense épigastrique c. Pyrosis d. Toux nocturne de décubitus 44 / 50 44) Monsieur V., 72 ans, consulte en cardiologie pour chute dûe à une perte de connaissance à l’effort. Quel diagnostic clinique évoquez-vous ? a. Insuffisance aortique b. Rétrécissement mitrale c. Insuffisance mitrale d. Rétrécissement aortique 45 / 50 45) Au cours de l’encéphalopathie hépatique : a. Coma avec signes de localisation b. Il n’y a jamais d’asterixis c. On peut constater une flexion-extension des poignets et des articulations métacarpo-phalangiennes d. Il n’existe pas une hypertonie extra-pyramidale 46 / 50 46) L’orthopnée : Survient à l’orthostatisme a. Survient en décubitus b. Est un signe d'insuffisance cardiaque droite c. Peut s'accompagner une hyperthermie majeure d. Survient à l'effort 47 / 50 47) Une signe ne caractère pas les symptômes de l’œdème aigu pulmonaire, laquelle ? a. l'orthopnée b. l'expectoration mousseuse rosée saumonée c. la dyspnée avec bradypnée expiratoire d. le grésillement laryngé et la toux 48 / 50 48) Monsieur T., 45 ans, sans antécédents connus, consulte en raison d’une diarrhée apparue il y a 4 mois et qui s’est progressivement aggravée. Elle est actuellement post-prandiale très précoce, faite de selles impérieuses, fécales et homogènes. Le patient a quelquefois constaté des débris alimentaires. II n’a pas maigri. Le poids quotidien des selles est de 350 g.Quel est votre diagnostic? a. Diarrhée chronique de type malabsorptive b. Diarrhée chronique de type sécrétoire c. Diarrhée chronique de type motrice d. Diarrhée chronique de type osmotique 49 / 50 49) La région épigastrique est: a. Située dans la partie centrale haute de l’abdomen b. Située dans la partie centrale base de l’abdomen c. La région où sont localisés les reins d. Une séparation entre les 2 fosses iliaques : la droite et la gauche 50 / 50 50) L’ascite : a. Entraine l’apparition d’une matité abdominale déclive b. Est un épanchement liquidien extra-péritonéal c. Peut-être à l’origine d’un signe du glaçon négatif d. Est due à une insuffisance cardiaque gauche Your score isThe average score is 84% Facebook 0% Restart quiz Any comments? Send feedback