/50 584 Sémiologie-Pathologie Preparation (Dr. Em Savoeun) 1 / 50 1) Lors de l’occlusion de l’intestin grêle : a. Les douleurs abdominales sont rapidement progressives b. L’arrêt des matières et des gaz est toujours précoce c. Le tympanisme est latéral d. Le ventre est distendu 2 / 50 2) Parmi les propositions suivantes, citer celle qui évoque la douleur d’un ulcère duodénal: a. Epigastrique, à type de brûlure b. Déclenchée par l'alimentation c. Epigastrique, à type de crampe, calmée par l'alimentation d. Post-prandiale précoce 3 / 50 3) Quelle est la proposition ne concerne pas le souffle d’insuffisance mitrale ? a. Débute habituellement dès le 1er bruit b. Siège à la pointe et irradie habituellement vers l’aisselle c. Est proportionnel à l’intensité de la régurgitation d. Peut irradier préférentiellement vers le bord gauche du sternum et vers le haut 4 / 50 4) Les bruits hydro-aériques : a. Sont peu nombreux en cas de diarrhée motrice b. Sont détectés par la percussion c. Reflètent le péristaltisme abdominal d. Peuvent être nombreux en cas d’ischémie mésentérique 5 / 50 5) Quel est le signe clinique qui n’existe pas dans le syndrome de reflux gastro-œsophagien? a. Pyrosis b. Défense épigastrique c. Toux nocturne de décubitus d. Signe du lacet (postural) 6 / 50 6) Concernant la douleur de péricardite aiguë, toutes les propositions suivantes sont justes, sauf une. Laquelle ? a. la douleur peut s'accompagner de troubles du rythme supra-ventriculaires b. l'ECG peut montrer des troubles diffus de la repolarisation c. la douleur s'accentue volontiers lors des mouvements respiratoires d. la douleur peut s'accompagner d'un frottement péricardique disparaissant en apnée 7 / 50 7) Quelle est la proposition qui ne concerne pas la douleur de colique hépatique ? a. Irradie en hémi-ceinture vers le flanc droit b. Est à type de décharge électrique c. Siège dans l’hypochondre droit dans 1/3 des cas d. Irradie vers l’épaule droit 8 / 50 8) L’ascite : a. Est un épanchement liquidien extra-péritonéal b. Est due à une insuffisance cardiaque gauche c. Entraine l’apparition d’une matité abdominale déclive d. Peut-être à l’origine d’un signe du glaçon négatif 9 / 50 9) Monsieur X, 70 ans, consulte pour gêne douloureuse à la marche. Depuis 3 mois, il s’arrête au bout de 300 m à cause de sa jambe droite, il se repose quelques minutes et repart sans problème. Dans ses antécédents, on note tabagisme à 50 paquets-années, hypercholestérolémie non traitée, hypertension artérielle traitée. Cliniquement : poids: 90 kilos pour 1 m71, tension artérielle = 140/80 mmHg, pouls = 87/minute. Souffle systolique fémoral droit, abolition des pouls pédieux droit, tibiaux postérieurs. Le reste de l’examen, en particulier neurologique et abdominal est normal.Quel est le diagnostic clinique de ce patient? a. Sciatique de jambe droite b. Claudications médullaires c. Claudications vasculaires d. Arthrite de la jambe droite 10 / 50 10) Parmi les propositions suivantes relatives à une insuffisance mitrale importante, une seule est exacte, laquelle ? a. Il existe un B3 de remplissage rapide b. La pression artérielle diastolique est basse avec pression différentielle élargie c. Le VG peut demeurer normal radiologiquement par hypertrophie concentrique d. Le souffle est à prédominance méso-systolique 11 / 50 11) Au cours de l’encéphalopathie hépatique : a. On peut constater une flexion-extension des poignets et des articulations métacarpo-phalangiennes b. Il n’existe pas une hypertonie extra-pyramidale c. Coma avec signes de localisation d. Il n’y a jamais d’asterixis 12 / 50 12) Quelle est la complication évolutive la plus fréquente d’un anévrysme de l’aorte abdominale sous rénale ? a. Thrombose de l'aorte b. Rupture c. Compression urétérale d. Fistulisation dans la veine cave inférieure 13 / 50 13) Parmi les propositions suivantes, laquelle ne s’applique pas au syndrome dysentérique ? a. mécanisme: invasif b. incubation: quelques heures c. douleurs: intense d. selles: glaires, sang, pus 14 / 50 14) Quelle est la proposition ne concerne pas la douleur d’un syndrome ulcéreux: a. Aggravée par l'alimentation b. Siège épigastrique c. type de crampe d. Survient à distance des repas 15 / 50 15) Monsieur X., 65 ans, consulte pour asthénie avec dyspnée d’effort. Antécédents: Soins dentaires il y a sept mois. Souffle holosystolique intense, apexoaxillaire 3/6°, en jet de vapeur, avec perception d’un B3 (protodiastolique) endapexien. La tension artérielle est à 110/80 mmHg. Le reste de l’examen est normal.Quel diagnostic clinique évoquez-vous de ce patient? a. Insuffisance mitrale b. Rétrécissement aortique c. Insuffisance aortique d. Rétrécissement mitrale 16 / 50 16) Quelle est la complication possible de l’ulcère bulbaire? a. Pancréatite b. Ictère obstructif c. Hémorragie digestive haute d. Occlusion intestinale 17 / 50 17) La région épigastrique est: a. La région où sont localisés les reins b. Une séparation entre les 2 fosses iliaques : la droite et la gauche c. Située dans la partie centrale base de l’abdomen d. Située dans la partie centrale haute de l’abdomen 18 / 50 18) Une signe ne caractère pas les symptômes de l’œdème aigu pulmonaire, laquelle ? a. l'expectoration mousseuse rosée saumonée b. l'orthopnée c. le grésillement laryngé et la toux d. la dyspnée avec bradypnée expiratoire 19 / 50 19) Chez l’adulte jeune la cause la plus fréquente de syndrome clinique de sténose du pylore est: a. L'ulcère duodénal b. L'hypertrophie du pylore c. L'ulcère gastrique d. Le cancer gastrique 20 / 50 20) La dysphagie de l’œsophagite : a. Constante b. Est intermittente c. Ne s’associe pas à un pyrosis d. Est progressive 21 / 50 21) Les caractères du frottement péricardique sont les suivants, sauf un. Lequel ? a. protosystolique et télédiastolique b. superficiel mésocardiaque c. doux froissement de la soie d. persiste en apnée 22 / 50 22) L’ictère à bilirubine conjuguée se caractérise par: a. S’associe à des urines claires et hémolyse b. S’associe à des urines claires, des selles très colorées c. S’associe à des selles décolorées et non prurit d. S’associe à des urines foncées, des selles décolorées et peut-être lié à un obstacle hépatique 23 / 50 23) Mr R, 66 ans, est une patiente diabétique non insulino-dépendante et hypertendue. Dans ses antécédents, on retient une néphropathie diabétique et un infarctus du myocarde vu tardivement il y a 4 ans. Elle signale depuis quelques mois des douleurs thoraciques antérieures constrictives sur quelques minutes et irradiation au mâchoire et bras gauche.Quelle hypothèse diagnostique pouvez-vous formuler devant ce tableau clinique ? a. Douleurs d'origine digestive : spasme œsophagien reflux gastro-œsophagien b. Douleurs d'origine cardiaque : Angor c. Douleurs pariétales d. Douleur d’origine pulmonaire 24 / 50 24) La douleur gastrique ou duodénale : a. Siège dans l’hypocondre gauche b. Siège épigastrique transfixiante et projette dans le dos c. Est habituellement sans irradiation et calmée par le bol alimentaire d. Est soulagée par l’antéflexion du buste 25 / 50 25) Au cours de l’insuffisance ventriculaire gauche (quelques soit la cause), l’auscultation cardiaque permet de retrouvée : a. Un souffle diastolique d’insuffisance aortique fonctionnelle b. Un souffle diastolique de pointe c. Un bruit intense diastolique d. Une tachycardie avec souffle systolique de pointe 26 / 50 26) Mme G est âgé de 56 ans. Elle pèse 85 kg pour 165 et observe des œdèmes des membres inférieurs de plus en plus importants en fin de journée alors que selon elle ses jambes dégonflent franchement le matin. On lui connaît un artériopathie des membres inférieurs non évolutive actuellement avec un périmètre de marche à 150 mètres. L’examen neurologique des membres inférieurs objective une aréflexie aux membres inférieurs, des troubles de la sensibilité et sans atteinte motrice nette. Brutalement elle se plaint d’une douleur aiguë du pied gauche. Celui-ci apparaît blanc et froid. La patiente est non fébrile.Quel est votre diagnostic ? a. sténose athéromateuse non complète b. Thrombophlébite c. sténose athéromateuse complétée d. Ischémie aigue de jambe 27 / 50 27) Quelle est la proposition qui ne concerne pas l’hypertension portale ? a. Peut se manifester par une circulation veineuse collatérale abdominale b. Peut s’accompagner de varices œsophagiennes c. Peut s’associer à une splénomégalie d. Peut traitée par des médicaments anti-hypertenseurs 28 / 50 28) Le pyrosis : a. Les changements de position n’est pas déclenché la douleur. b. Peut se manifester par des douleurs abdominales c. Est une douleur qui irradie vers la région hypogastrique d. Est une brûlure épigastrique, déclenchée par les changements de position 29 / 50 29) L’étiologie de vomissement chronique est : a. reflux gastro-oesophagiene b. insuffisance rénale aiguë c. réflexes (occlusion, péritonite, pancréatite, …) d. psychogène, sténose digestive non dérivée 30 / 50 30) Monsieur H. T., 60 ans, éthylique notoire et grand tabagique (50 paquets/année), consulte en raison d’un amaigrissement majeur (-12 kg en 3 mois) et d’une difficulté à avaler les aliments. Ce qui était une simple gêne au début, il y a 4 mois, s’est progressivement aggravé, actuellement seuls les aliments liquides passent. Le reste de l’examen clinique est normal.Quelle est votre principale hypothèse diagnostique ? a. Cancer de l'œsophage b. Tumeur du larynx c. L’œsophagite d. Sténose de l’oesophage 31 / 50 31) La dysphagie du cancer de l’œsophage : a. Est douloureuse et concerne les aliments solides b. Est progressive et concerne d’abord les aliments solides puis les liquides c. Est douloureuse et concerne les aliments liquides chauds d. Est brutale et concerne d’abord les aliments solides puis les liquides 32 / 50 32) L’hépatomégalie de l’insuffisance cardiaque : a. est totalement indolore à la palpation b. est généralement associée à une vésicule palpable c. est lisse et douloureuse à la palpation d. est dure avec une surface irrégulière 33 / 50 33) Le facteur de risque cardio-vasculaire, accessibles à une prévention primaire, comporte: a. Le sex et l’âge b. L'hérédité c. Le génétique d. L'hypercholestérolémie 34 / 50 34) Madame C., 29 ans, sans antécédents connus, consulte à midi aux urgences en raison de douleurs épigastriques survenues depuis ce matin à six heures. Ces douleurs sont continuées, sans paroxysme, accompagnées de vomissements alimentaires peu abondants.Quelle est votre hypothèse diagnostique ? a. Occlusion aiguë haute du grêle b. Ulcère gastro-duodénal c. Cholécystite aiguë d. Infarctus mésentérique 35 / 50 35) Quelle est la proposition qui ne concerne pas l’obstruction des voies biliaires extra-hépatiques ? a. Se manifeste par un prurit b. Peut s’accompagner de fièvre c. Ne s’associe pas à un ictère d. S’associe parfois à une hépatomégalie importante 36 / 50 36) La douleur pancréatique : a. Est initialement épigastrique, transfixiante et projette dans le dos b. Est localisée dans la région hypogastrique c. Est épigastrique projette dans l’organe génital externe d. Peut irradier vers l’épaule droite 37 / 50 37) Quelles sont les affirmations exactes concernant la douleur colique ? a. Elle est soulagée par l’émission de selles et/ou de gaz b. Elle peut être soulagée par le repas c. Elle est déclenchée par l’émission de gaz d. Elle est de siège ombilical 38 / 50 38) Quel est l’élément sémiologique qui permet d’affirmer l’origine cardiaque d’une hépatomégalie? a. Reflux hépatojugulaire b. Caractère douloureux c. Ascite d. Oedème des membres inférieurs 39 / 50 39) Devant la découverte d’une masse abdominale sus-ombilicale, l’existence d’un anévrisme de l’aorte sera suspectée devant: a. le caractère battant et/ou expansif de cette masse b. la perception d'un "thrill" c. le caractère douloureux de cette masse d. le caractère palpable et impossible de compression 40 / 50 40) Parmi les éléments suivants de la sémiologie clinique du rétrécissement mitral, quel est celui qui disparait lorsqu’apparait une arythmie complète par fibrillation auriculaire ? a. Claquement d'ouverture mitrale b. Roulement diastolique c. Eclat du premier bruit d. Renforcement présystolique du roulement diastolique 41 / 50 41) Monsieur V., 72 ans, consulte en cardiologie pour chute dûe à une perte de connaissance à l’effort. Quel diagnostic clinique évoquez-vous ? a. Rétrécissement mitrale b. Insuffisance mitrale c. Insuffisance aortique d. Rétrécissement aortique 42 / 50 42) L’orthopnée : Survient à l’orthostatisme a. Survient en décubitus b. Survient à l'effort c. Est un signe d'insuffisance cardiaque droite d. Peut s'accompagner une hyperthermie majeure 43 / 50 43) Monsieur T., 45 ans, sans antécédents connus, consulte en raison d’une diarrhée apparue il y a 4 mois et qui s’est progressivement aggravée. Elle est actuellement post-prandiale très précoce, faite de selles impérieuses, fécales et homogènes. Le patient a quelquefois constaté des débris alimentaires. II n’a pas maigri. Le poids quotidien des selles est de 350 g.Quel est votre diagnostic? a. Diarrhée chronique de type sécrétoire b. Diarrhée chronique de type motrice c. Diarrhée chronique de type osmotique d. Diarrhée chronique de type malabsorptive 44 / 50 44) Le quadrant supérieur droit de l’abdomen est : a. L’hypogastre b. La fosse iliaque droite c. Flanc droit d. L’hypochondre droit 45 / 50 45) Un patient de 75 ans est admis aux urgences médicales pour une douleur thoracique brutale constrictive avec sensation de déchirure irradiant dans le dos survenue 3 heures auparavant. Ces antécédents sont marqués par : Un tabagisme chiffré à 24 paquets/année, Un diabète non insulino-dépendant traité par metformine. Une hypertension artérielle traitée par une quadrithérapie associant : diurétique de l’anse, anticalcique, inhibiteur de l’enzyme de conversion et bétabloquant, Une fracture du col fémoral ayant nécessité une ostéosynthèse “clou-plaque” en 1995. La taille est de 189 cm pour 95 kg. La tension artérielle est de 210 /125 mmHg et la fréquence cardiaque est chiffrée à 78/min. L’auscultation cardio-pulmonaire est normale. Les pouls périphériques sont absents en fémoral.Quel diagnostic clinique évoquez-vous ? a. Infarctus du myocarde (IDM) b. Embolie pulmonaire c. Dissection aortique d. Péricardite 46 / 50 46) La diarrhée: a. Est aiguë si elle dure moins de trois jours b. Est définie par l’augmentation du poids des selles journalier c. Est définie par l’augmentation du nombre de selles par jour d. La selle doit être liquide 47 / 50 47) Parmi les examens ci-dessous, lequel n’entre pas dans le bilan de retentissement d’une HTA ? a. électrocardiogramme b. fond d'œil c. ionogramme urinaire d. échographie cardiaque 48 / 50 48) Une femme de 42 ans est hospitalisée pour dyspnée d’effort et dyspnée paroxystique nocturne. Cette dyspnée s’est installée insidieusement sur deux ans, mais s’est rapidement aggravée la semaine passée, avec épisodes d’orthopnée nocturne. Cette femme n’a pas d’antécédents pathologiques. Auscultation : souffle diastolique en écharpe 4/6°, souffle systolique endapexien éjectionnel 2/6°, troisième bruit à l’endapex. Hyperpulsatilité artérielle périphérique, tension artérielle = 130/60 mmHg, pouls = 88/mn, apyrexie.Quel diagnostic clinique évoquez-vous ? a. Insuffisance mitrale b. Rétrécissement mitrale c. Insuffisance aortique d. Rétrécissement aortique 49 / 50 49) Parmi les propositions concernant l’infarctus du myocarde chez la personne âgée, laquelle est fausse ? a. la défaillance cardiaque est une complication fréquente b. des nausées et vomissements peuvent être l'expression d'un infarctus du myocarde c. la douleur thoracique est la manifestation la plus fréquente d. une syncope peut révéler un infarctus du myocarde 50 / 50 50) L’une de ces complications ne fait pas partie du tableau de dissection aiguë de l’aorte. Laquelle ? a. accident vasculaire cérébral b. insuffisance mitrale aiguë c. hémopéricarde d. hémothorax Your score isThe average score is 84% Facebook 0% Restart quiz Any comments? Send feedback